Parcontre, ne vous mettez jamais en compĂ©tition avec ses filles. Cela n’a rien Ă  voir. Vous seriez forcĂ©ment perdante. Mes enfants passeront TOUJOURS avant la plus magnifique histoire d’amour. C’est sans doute bĂȘte mais c’est comme ça. RĂ©ponse. Lafolie-Yenamarre sur 21 avril 2018 Ă  14 h 24 min Bonjour, moi j ai un problĂšme assez dĂ©licat a Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau coffret Ultra Premium ... Voir le deal Le Bazarazyn Abraham AuteurMessageMĂ©lusineAdminMessages 463Date d'inscription 07/07/2008Sujet Be yourself, everyone else is already taken Dim 5 Jan - 1314 ‱‱ Be yourself... ‱‱Samedi 12 janvier 1980MinistĂšre de la Magie - niveau 6DĂ©partement des transports magiques Oops ! Pardon ! DĂ©solĂ© dĂ©solĂ© ! »Assailli de toute part par des Ă©trangers n'ayant aucun respect pour son espace personnel vital Merlin qu'il dĂ©testait que des inconnus le touchent !, Abraham se rĂ©pandait en excuses, au petit bonheur la chance. C'Ă©tait qu'il n'avait pas intĂ©rĂȘt Ă  chatouiller de trop prĂšs la mauvaise humeur de la mauvaise personne. L'un ou l'autre de ces coincĂ©s du chaudron, qui se ruaient droit devant eux au mĂ©pris des libertĂ©s de chacun, sans mĂȘme jeter un regard derriĂšre eux, non mais vraiment, quelle Ă©ducation... l'un ou l'autre, bref, pouvait se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre un de ces diplomates en puissance dont le courroux Ă©quivalait Ă  la confiscation de sa baguette, trois mois fermes Ă  Azkaban ou pis, l'interdiction Ă  vie de s'approvisionner en jus de Ă  mesure que ses excuses s'Ă©grenaient et restaient sans rĂ©ponse enfin, quoi, pas mĂȘme un regard, un sourire, un "ce n'est rien, jeune homme", la bonne volontĂ© de l’Écossais commençait Ă  s’essouffler. Le respect envers ses aĂźnĂ©s, prĂ©cepte sacro-saint de l'Ă©ducation de sa mĂšre, il voulait bien donner, mais si ça n'Ă©tait pour rĂ©colter que du mĂ©pris, autant retourner cultiver ses citrouilles ! Au diable les bonnes maniĂšres et la politesse de façade ! Il n'avait jamais aimĂ© ça de toute façon. Ça n'Ă©tait jamais rien d'autre que de l'hypocrisie dĂ©guisĂ©e. Et Abraham Ă©tait plutĂŽt du genre allergique Ă  l'hypocrisie. Il rangea donc ses bons mots dans un petit coin, bien au chaud, ça pouvait toujours servir plus tard, rentra les Ă©paules, plaqua un air peu amĂšne sur son visage et rentra dans le jeu de tous ces autres qui filaient se faire engloutir par les dĂ©dales du foule l'emmena bien loin de l'atrium, en oubliant de lui stipuler oĂč exactement. Quelle idĂ©e de ne pas distribuer des plans Ă  l'entrĂ©e du bĂątiment ! On lui avait dĂ©jĂ  imposĂ© le trajet en cabine tĂ©lĂ©phonique, l'Ă©tape de la fouille il y avait des moments plus agrĂ©ables que celui-lĂ , dans la vie, foi de McCamlhan !, et maintenant, l'Ă©preuve du labyrinthe... Eh quoi ? C'Ă©tait un test d'intelligence ? Une sorte de sĂ©lection naturelle ou pas naturelle du tout, selon les points de vue ? Vous n'ĂȘtes un vrai sorcier que si vous sortez vivant d'ici ? Vivant et sain d' pas tss ! Va te faire enregistrer au MinistĂšre », qu'on lui avait dit !C'Ă©tait que, pour utiliser le rĂ©seau de cheminette au-delĂ  du continent grand-breton, il fallait une petite autorisation, genre, un raccord spĂ©cial. Et probablement une poudre de cheminette un chouĂŻa plus puissante. Qui savait ? Peut-ĂȘtre celle-ci ferait-elle les flammes rouges...ce serait tellement plus seyant, dans son Ăątre. Personne n'avait-il donc eu le temps de se consacrer Ă  la question de la couleur des poudres de cheminette ? Il y avait pourtant lĂ  un crĂ©neau carrĂ©ment intĂ©ressant ! Tout ce vert finissait par ĂȘtre un peu banal...Sans trop savoir comment le hasard, trĂšs probablement. Abraham ayant un sens de l'orientation absolument dĂ©plorable., il finit par rallier le niveau 6 et, chose plus Ă©tonnante encore, par dĂ©nicher le DĂ©partement des Transports Magiques. LĂ , il poireauta une bonne petite demi-heure, prit son mal en patience, compta les plantes verts sept, les affiches publicitaires seulement trois, les propagandes pro-ministĂ©rielle trente-huit, les allĂ©es-et-venues cent soixante-quatorze personnes, dont quatre-vingt-dix-huit femmes, soixante-treize hommes, deux enfants et un fantĂŽme, les dalles au sol, etc...Enfin, une dame minuscule sĂ©rieusement, elle devait Ă  peine atteindre le mĂštre vingt, les bras levĂ©s sembla s'intĂ©resser Ă  son cas. Environ deux minutes, avant de lĂącher son verdict DĂ©solĂ©e monsieur McCalmar... » Camlhan » pourquoi fallait-il que tout le monde Ă©corche toujours son nom ? Oui. Bref. Monsieur McCalmant. Je ne peux rien pour vous. SUIVANT ! »Tout ça sous prĂ©texte que son passeport n'Ă©tait pas Ă  jour. Or, il lui fallait des papiers en rĂšgle pour ĂȘtre habilitĂ© Ă  utiliser le rĂ©seau de cheminette international. Jusque-lĂ , il s'Ă©tait organisĂ© Ă  la va-comme-je-te-pousse, attrapant un portoloin ou squattant chez un collĂšgue pour quelques jours. Mais depuis que sa pĂ©riode probatoire Ă  Pumpkin's Planet » s'Ă©tait transformĂ©e en un vĂ©ritable emploi ĂŽ joie ! HallĂ©luja ! Que soient bĂ©nis Merlin, Morgane et Agrippa ! Un vrai job rien qu'Ă  lui, en plein air et sans trop de magie sous les doigts !, il lui fallait clairement rĂ©gulariser sa situation, histoire de pouvoir faire ses petits allers-retours quotidiens. Rendez vous donc aux Services Administratifs du Magenmagot. », se rĂ©solut Ă  lui lancer l'hĂŽtesse d'accueil, le prenant sans doute en pitiĂ© devant son air de chien battu. C'Ă©tait qu'il faisait trĂšs bien le chien compassion avait toutefois des limites puisqu'elle se dĂ©tourna malgrĂ© tout, pour faire face au grand type maigrichon qui s'avançait Ă  son tour, un Ă©norme dossier sous le bras. Sans mĂȘme lui prĂ©ciser oĂč diantre pouvait bien se trouver ce foutu service nerfs vaguement aiguisĂ©s par l'impatience et la lassitude, Abraham se dĂ©tourna afin de reprendre son errance dans cette fourmiliĂšre bien trop organisĂ©e pour sa cervelle d' ce qui devait arriver Étage n°174, couloir 245 658, dĂ©partement des brebis Ă©garĂ©es, Abraham McCamlhan, bienvenue !Si seulement il y avait une petite voix pour m'indiquer oĂč j'en suis, au lieu de dĂ©ambuler au petit bonheur la chance dans ces couloirs sans fin. Les quelques pĂšlerins que je croisai sur ma route avaient l'air aussi perdus et hagards que moi. Ou alors tellement concentrĂ©s, se donnant l'air important, que je n'osai les couloirs, dĂ©tours, retours, portes, bureaux, ascendeurs... comme une litanie folle et ce qui me sembla des heures et des heures probablement pas plus d'une trentaine de minutes, en rĂ©alitĂ©, un fragment de conversation, captĂ© d'une oreille distraite, me fit sursauter. LĂ , ce type, j'Ă©tais presque sĂ»r qu'il avait parlĂ© d'un service administratif, niveau 2. Il devait s'y rendre. Urgemment. Une affaire de procĂšs en cours qu'il fallait reporter. Whatever. Rien Ă  faire des dĂ©tails, il se dirigeait droit sur ma cible et moi, je n'avais plus qu'Ă  le suivre !Je vous passerai les dĂ©tails du trajet empruntĂ©, des conversations tronquĂ©es qui frappĂšrent mes oreilles, des quelques secrets d'Ă©tat que je surpris au passage non, lĂ , je plaisante. Qu'il soit seulement dit que mon petit monsieur m'entraĂźna sans le savoir jusqu'Ă  ce fameux niveau 2. Que je le perdis quand un groupe de secrĂ©taires nous croisa en jacassant. Mais qu'importe ! J'Ă©tais plus prĂšs de mon but que je ne l'avais jamais Ă©tĂ© !Mon sourire Ă©tait revenu se coller sur mon visage et j'avançai avec optimisme, droit devant moi, me fiant Ă  mon instinct. J'avais beau avoir galĂ©rĂ© comme un fou jusqu'Ă  prĂ©sent, j'Ă©tais dĂ©sormais confiant. Mon calvaire touchait Ă  sa fin et, pour me dĂ©fouler, je n'aurais qu'Ă  attraper batte, cognard et balai en rentrant pour aller me faire une petite session quidditch en solitaire, histoire de me souvenir des entraĂźnements de passer le temps et ponctuer mon chemin d'un peu de fantaisie, je m'amusai Ă  lire les noms sur les plaques qui tapissaient les murs. C'Ă©tait fou comme un bout de bronze gravĂ© pouvait rassĂ©rĂ©ner les egos de Pond, Alastor Maugrey, Jeremiah Stanislaski... Bureau des Windham, Sullivan Cameron, William O'Brian, ZoĂ© H. Peverell, EloĂŻse Macnair, Eden Gardens ... Brigade de Police Magique.* Mouhaha, Eden Gardens... Le jardin d'Eden... Il y a des parents qui ont de l'humour ! *TrĂšfle Greengrass, Finlay E. McBain, Eanna-Rose D. O'Neill,... Brigade des Tireurs d'Elite. Murtagh McEwan...* Minute... *Finlay E. McBain ?Je me fendis de deux pas en arriĂšre. Fin ? »Finlay ? Mon Finlay Ă  moi ? Le Finlay des jours heureux ?Je clignai des yeux trente-six mille fois, histoire de vĂ©rifier qu'ils ne m'avaient pas abusĂ©. Perdu de vue depuis quelques temps dĂ©jĂ  et voilĂ  que boum ! Il me revenait Ă  l'endroit le plus inattendu qui soit !Aurais-je seulement pu rĂ©sister ?Bien sĂ»r que non !Je pris un air sĂ»r de moi et pĂ©nĂ©trai dans les quartiers des tireurs d'Ă©lite. Eh quoi ? Je n'allais pas faire le pied de grue, gentiment, bĂȘtement, en attendant qu'il sorte. Imaginez qu'il soit accompagnĂ© et qu'il ne remarque mĂȘme pas mas prĂ©sence... Imaginez qu'il ne soit tout simplement pas lĂ ... L'air de rien, donc, je furetai dans leur On me jeta bien quelques regards en coin mais j'ai toujours eu l'air inoffensif...pour mon plus grand malheur. Mais c'est une autre lĂ , au dĂ©tour d'un box, un bureau. Reconnaissable entre tous. Les photos accrochĂ©es au mur confirmĂšrent mon sentiment premier j'avais trouvĂ© le bureau de Finlay. Mais de McBain, point Ă  l'horizon. J'aurais bien sĂ»r pu me renseigner mais ça aurait Ă©tĂ© avouer que j'Ă©tais un intrus, et, tant qu'on ne me foutait pas dehors, je comptais bien profiter de tout mon souris Ă  une ou deux images de la famille McBain qui convoquĂšrent tout un flot de souvenirs, hĂ©tĂ©roclites et heureux. Les souvenirs d'enfance sont souvent les plus beaux, teintĂ©s d'une mĂ©lancolie douce-amĂšre. A ce moment prĂ©cis, j'aurais donnĂ© baguette pour ce qu'elle me servait..., balai et chaudron pour revenir quinze ans en arriĂšre. M'enfin ! L'esprit a peut-ĂȘtre des pouvoirs mais pas Ă  ce point-lĂ ...Et maintenant ? Que faire ?Je ne pouvais dĂ©cemment pas partir comme j'Ă©tais venu, un mot ? Erk. Un, tout le monde pourrait le lire et deux, quoi Ă©crire ? Sans compter que trois, je n'avais jamais raffolĂ© des lettres et autres blablas Je voulais dĂ©poser un message, mais un message Ă  ma il se trouvait que j'avais ma petite idĂ©e sur le comment et le Ă©tions le deuxiĂšme week-end de janvier. Et alors, me direz-vous ? Et alors, bande d'incultes, ce fameux deuxiĂšme week-end de janvier Ă©tait synonyme de liesse, pour la communautĂ© sorciĂšre de l'Aberdeenshire. On y cĂ©lĂ©brait je-ne-savais-plus-quel-Ă©vĂ©nement probablement un sorcier qui y avait dĂ©couvert une nouvelle façon de touiller les chaudrons et pendant deux jours, c'Ă©tait animations, jeux, banquets et autres joyeusetĂ©s. Mes sƓurs et moi ne manquions jamais une occasion d'aller nous y encanailler. La famille McBain non plus. Je ne comptais plus les parties de rodĂ©os de dragons, lancers de troncs d'arbres sport national Ă©cossais, mes enfants, balai-crosses, water-Quidditch, courses enchapeautĂ©es et autres citrouilles-explosers que nous avions partagĂ©, sous le regard indulgent des adultes. Surtout les citrouilles-explosers ! C'Ă©tait il y a longtemps. Certes. Comme si ça m'empĂȘchait de rĂȘver d'y aller. Mais seul, ça n'Ă©tait pas si drĂŽle..En prenant garde de ne pas faire de gestes brusques un binĂŽme de tireurs d'Ă©lite paradait Ă  quelques pas de moi et ce n'Ă©tait probablement pas une trÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚÚs bonne idĂ©e de provoquer des fous furieux de la baguette, je sortis une citrouille miniature d'une de mes nombreuses poches et la dĂ©posai dĂ©licatement sur le bureau de Finlay. Tout aussi lentement, doucement, je la saupoudrai d'un peu de poudre bleuĂątre, sortie d'une Pumpkins' Planet, Laurent, un de mes collĂšgues accrĂ©ditĂ© au service recherche et dĂ©veloppement » avait mis au point une nouvelle forme d'engrais magique. Essayait de mettre au point » serait plus exact. Il m'avait remis quelques Ă©chantillons, Ă  essayer loin des yeux de la fille du patron. Ma poudre bleuĂątre Ă©tait de ceux-lĂ . Et puis, baste, il fallait vivre dangereusement !Avant que la citrouille n'ait pu prendre des dimensions exponentielles, je m'esquivai sans faire de sur la façon dont je parvins enfin Ă  rĂ©gulariser ma situation. Il n'y avait rien de palpitant dans ce Ă  titre informatif, sachez que pas plus tard que le soir mĂȘme, alors que le soleil s'Ă©tait dĂ©jĂ  couchĂ© sur les Hautes Terres d'Ecosse, j'avais enfilĂ© mon plus beau kilt et ralliĂ© l'Aberdeenshire Sorcerers' Festival c'Ă©tait le nom de cette petite sauterie aux allures de bacchanale.A bon entendeur... MĂ©lusineAdminMessages 463Date d'inscription 07/07/2008Sujet Re Be yourself, everyone else is already taken Dim 19 Jan - 2212 Assis sur une vieille chaise en cuir dĂ©crĂ©pi qui traĂźnait sans doute au MinistĂšre depuis quelques siĂšcles au vu de son inconfort, Finlay tentait tant bien que mal d’écouter Gustav Manner sans lui manquer cruellement de respect et de lui somnoler au visage mais enfin, son assoupissement ne relevait pas complĂštement de lui - qui avait eu l’excellente mauvaise idĂ©e de placer la confĂ©rence tout de suite aprĂšs le dĂ©jeuner, alias l'heure la plus propice Ă  la sieste ?. Gustav Manner, sommitĂ© dans l’univers policier sorcier par ses nombreuses arrestations spectaculaires de dangereux hors-la-loi, mais plus connu du public par ses divers livres Ă  succĂšs sur le monde juridique et policier des sortes de banalisations de ces sujets pour le commun sorcier. Ancien chef gĂ©nĂ©ral de la police magique, il avait mĂ©ritĂ© son tableau d’honneur dans le hall d’entrĂ©e et sa prĂ©sence aujourd’hui au quartier gĂ©nĂ©ral suscitait bien des remous enthousiasmes invitĂ© Ă  prĂ©senter une confĂ©rence-formation Ă  divers membres du corps policier autant les agents de la paix que les tireurs d’élite ou que les prĂ©posĂ©s Ă  l’accueil, le grand maĂźtre causait un nombre impressionnant de torticolis puisque tous Ă©tiraient leur cou dans l’espoir de croiser son regard. Comme il s’avĂ©rait Ă©videmment impossible de suspendre l’entiĂšretĂ© l’activitĂ© policiĂšre pendant quelques heures, Manner donnerait quatre fois la confĂ©rence, poĂ©tiquement intitulĂ©e L’importance de la diplomatie. Quelques chanceux assistaient Ă  la premiĂšre reprĂ©sentation, dont Finlay, Ă  qui son chef, Lewis, avait grommelĂ© Tiens, vas-y. Le plus tĂŽt, tu y vas, le mieux, ce sera. » Le concernĂ© avait froncĂ© les sourcils devant l’insinuation, mais s’était tu si ce silence n’était pas de la diplomatie, qu’était-ce alors ?. Ce que Gustav Manner racontait Ă©tait intĂ©ressant
 pendant cinq minutes. AprĂšs cela, chaque phrase revenait exactement Ă  la mĂȘme chose et alourdissait le propos. Tandis que Finlay s’enfonçait lentement mais sĂ»rement dans son siĂšge, son voisin de droite lui refila un bref et efficace coup de coude dans
 et non, pas dans ses cĂŽtes, elles Ă©taient rendues trop basses pour les atteindre... ce fut donc la cage thoracique qui fut cruellement touchĂ©e. Aouch. Endroit bien douloureux qui l’élança et le maintint Ă©veillĂ© pendant une bonne quinzaine de minutes. Il est primordial de toujours ĂȘtre courtois et patient avec les sorciers qui viennent chercher votre aide puisque vous ĂȘtes leur seul appui Ă  ce moment. Vous ĂȘtes leur lien entre le malheur qu’ils vivent et la clef du bonheur Ă  venir
 » D’accord, d’accord. Les dires de Manner Ă©taient vrais, mais Ă©tait-il nĂ©cessaire de passer par des images tirĂ©es d’un bouquin de psychologie populaire ? Parlant de Manner
 il Ă©tait plutĂŽt bien conservĂ© pour ses quatre-vingts ans approchant. Prenait-il des potions pour garder une peau d’apparence si saine ? À moins que ce ne fĂ»t l’Ɠuvre de sortilĂšges ? Mais non, l’effet des sorts s’estompait plus rapidement que cela. Oh ! Et voilĂ  que l’ennui transformait Finlay en mĂšre de famille complexĂ©e par ses vergetures, qui cherchait par tous les moyens Ă  retrouver son visage de la vingtaine par peur de perdre son mari aux mains fines de sa secrĂ©taire. Non, dĂ©cidĂ©ment, l’inertie ne lui seyait pas. McBain ! » souffla Lewis qui venait de se faufiler dans la salle. Que, qui, quoi ? Avait-il ronflĂ© trop fort ? Le tireur d’élite tourna son visage sur lequel se lisait un immense Qu’est-ce qu’il y a, j’ai rien fait, je le jure, j’écoute avec attention. Lewis lui fit simplement signe de venir le rejoindre au plus vite et Finlay s’exĂ©cuta, s’excusant au passage lorsqu’il accrochait de grandes jambes ou en profitant pour saluer silencieusement des collĂšgues. Un tel dĂ©placement attira le regard curieux de Manner qui, toutefois, n’interrompit pas son exposĂ© pour autant, et McBain fils tenta de lui transmettre en un regard et quelques gestes sa pensĂ©e qui se rĂ©sumait Ă  Je suis appelĂ© par le Big Boss, je suis dĂ©solĂ©, mais super confĂ©rence, merci, un grand honneur de vous voir, bonne journĂ©e, dĂ©solĂ© encore, est-ce assez diplomatique?, mais Manner ne regardait pas l’exercice de mime jusqu’à la fin et comprit donc qu’une envie pressante terrassait Finlay. On a un petit problĂšme au bureau » lui annonça Lewis, une fois qu’ils furent sortis. Avec ton bureau, en fait. » Okééé, mais encore ? » le poussa Ă  continuer Finlay dont l’incomprĂ©hension ornait tous les recoins du visage. Que s’était-il produit de si terrible qui mĂ©ritait de l’arracher Ă  cette formation qui lui Ă©tait utile? À moins que ce ne fĂ»t qu’une excuse lamentable pour l’envoyer dans une affaire urgente qui nĂ©cessitait ses grands talents trop souvent nĂ©gligĂ©s ? Hm, tu verras par toi-mĂȘme l’étendue de la catastrophe. En gros, il y a environ une heure de cela, un grand rouquin Ă  l’air un peu hagard est entrĂ© dans le quartier gĂ©nĂ©ral et a dĂ©posĂ© une citrouille sur ton bureau. » Bon. Jusqu’à prĂ©sent, la situation Ă©tait Ă©trange, mais rien de calamiteux encore. Et la citrouille a commencĂ© Ă  grossir. Et elle ne s’arrĂȘte plus. » Mais comment s’appelait le rouquin ? » On ne sait pas, on croyait que c’était un ami Ă  toi puisqu’il semblait bien connaĂźtre le coin. » Et bien. Les services policiers, toujours prĂȘts Ă  vous servir avec efficacitĂ© ! » » lança ironiquement Finlay. Puis, voyant le regard que lui jetait son chef, il se reprit C’était pas trĂšs diplomatique ? Pardon. Je n’ai pas assistĂ© Ă  toute la confĂ©rence. Bon. Allons voir la bĂȘte. » Un rouquin. Son seul indice. Ses collĂšgues n’avaient-ils pas idĂ©e du nombre de roux qui peuplaient la Grande-Bretagne !? Doux Merlin. Qui pouvait bien lui laisser des potirons au MinistĂšre ? Il n’avait pas rĂ©ellement d’ennemi au sein de la pĂšgre – du moins, il l’espĂ©rait - ou d’admiratrice secrĂšte – ça aussi, il l’espĂ©rait. DĂšs qu’il entra dans le quartier, il constata l’ampleur de la situation. La plante empiĂ©tait maintenant sur les bureaux voisins. Plus mallĂ©able que la normale, elle ressemblait Ă  un gros ballon orange mal-gonflĂ©. Les sorciers qui ne pouvaient plus travailler faute d’invasion citrouillienne se tenaient debout, touchaient du bout de leur baguette la 
 crĂ©ature, y allaient de leurs hypothĂšses absurdes. À nous deux. Revelium ! » lança Finlay en pointant l’amas orange. L’effet escomptĂ© fut tout autre la cucurbitacĂ©e frĂ©mit lĂ©gĂšrement avant d’éclater et de rĂ©pandre son contenu visqueux aux quatre coins du quartier gĂ©nĂ©ral sous les cris surpris de quelques policiers. L’odeur de la citrouille le saisissait aprĂšs tout, il en avait dans les narines alors
 et lui paraissait familiĂšre. Bon, d’accord, elle paraĂźtrait familiĂšre Ă  n’importe quel sorcier qui aurait bu son jus, vous me direz, mais non. Car la citrouille Ă©clatĂ©e ne dĂ©gage pas le mĂȘme effluve c’est plus brutal, plus festif qu’un simple dĂ©coupage. Festif. Citrouille. Rouquin. Quel jour sommes-nous ? » demanda Finlay, simplement pour ĂȘtre certain. Le 13 janvier » lui rĂ©pondit une Ăąme charitable qui essuyait des restants de potiron sur sa chemise beige. 13 janvier, mais oui, mais oui ! Tout fut tellement clair, tellement Ă©vident que Finlay Ă©clata de rire, attirant quelques regards inquiets de ses collĂšgues Et s’il y avait quelque chose de poison dans la citrouille ? » . Oh, oh, brillant Abraham, fier Écossais, digne Ă©lĂšve qui avait bien suivi ses leçons de bĂȘtise ! Aberdeenshire Sorcerers' Festival ou la cĂ©lĂ©bration Ă©cossaise sorciĂšre par excellente oĂč la citrouille explosive Ă©tait maĂźtresse. Un festival auquel les familles McBain et McCamlhan, celle d’Abraham, assistaient chaque annĂ©e, jusqu'Ă  ce que les bambins grandissent et vaguent Ă  d’autres occupations. Depuis combien de temps n’avait-il pas participĂ© Ă  cet Ă©vĂšnement grandiose ? Quatre, cinq ans ? Trop longtemps, certainement. Et ce devait ĂȘtre l’avis d’Abra. Le lecteur nous permettra sans doute ici de sauter par-dessus quelques heures de la vie de Finlay qui est un ĂȘtre extrĂȘmement intĂ©ressant, nous vous le cĂ©dons pour les besoins de l’histoire. Pour garder une certaine trame, disons seulement que le tireur d’élite expliqua plutĂŽt mal la prĂ©sence de la citrouille et pourquoi il Ă©tait aussi marrant que cela qu’elle aille explosĂ©e il Ă©tait vraiment le seul Ă  en rire, il dut nettoyer le bureau en entier et ce ne fut pas une tĂąche facile puisque la citrouille rĂ©sistait au plus puissant des Recurvite, puis dut chercher en catastrophe un vieux kilt qui traĂźnait dans sa garde-robe. Il passa rapidement chez Neil, son jeune frĂšre, pour l’inviter Ă  la soirĂ©e, mais, ne le trouvant pas chez lui, il se contenta de lui laisser un petit message, mĂȘme s’il doutait fort de la rĂ©ussite de cette tentative. Nous retrouvons donc Finlay sur les lieux de festivitĂ©, aussi excitĂ© qu’un gamin qui reçoit son premier balai. Et il y avait de quoi ĂȘtre fĂ©brile il allait revoir Abraham, qu’il avait perdu de vue depuis trop longtemps, et festoyer l’Aberdeenshire, l’une des plus belles fĂȘtes sorciĂšres. En voyant la banderole annonçant le festival, Finlay fut attaquĂ© par un flot de souvenirs d’une Ă©poque simple et heureuse. Un immense sourire se dessina sur ses lĂšvres bleuies par le froid Ă©cossais, qui ne demandait pas du tout la mĂȘme quantitĂ© de couches de vĂȘtement que le froid londonien et vous devinez pour quel froid Finlay s’était prĂ©parĂ© en toute hĂąte, sans rĂ©flĂ©chir. Allez, hop, trouver Abra au plus vite ! La mission ne promettait pas d’ĂȘtre facile Ă©tant donnĂ© la quantitĂ© astronomique de roux
 et puis, son ami d’enfance avait sĂ»rement bien grandi depuis leur derniĂšre rencontre. Et lĂ , au stand de dĂ©gustation de whisky Ă  la citrouille, un Ă©lancĂ© rouquin lui tournait le dos, mais Finlay semblait reconnaĂźtre sa maniĂšre de boire avec le coude un peu tournĂ© vers l’extĂ©rieur. S’approchant tout en douceur, Finlay profita du moment oĂč le buveur prenait une lampĂ©e de whisky pour lui envoyer une bonne tape dans le dos en lançant un joyeux On ne perd pas de bonnes habitudes, Abraham ? » Le supposĂ© Abraham se retourna vers Finlay. Qui constata qu’il n’avait pas du tout affaire avec le bon Abraham. Celui-ci avait une longue moustache rousse pleine de whisky et des petits yeux perçants. Oh. Tu n’es pas Abraham. Pardon » dit Finlay, qui, dĂ©cidĂ©ment, ne cessait d’enchaĂźner les gaffes aujourd’hui. Il mit quelques Mornilles sur la table de bois devant Non-Abraham. Prends un autre whisky Ă  ma santĂ© ! Et bon festival!» lança-t-il avec un sourire avant de s’éclipser rapidement avant que malheur ne lui arrivĂąt. Tout au long de sa quĂȘte, Finlay remarqua que l’évĂšnement avait grandi en importance puisque de nombreux nouveaux kiosques Ă©taient apparus depuis sa derniĂšre visite; tant mieux ! Leur plaisir n’en serait que dĂ©doublĂ©. Tandis qu’il passait Ă  cĂŽtĂ© d’un stand de fabrication de repousse-chauve-souris, la prĂ©sence d’un nouveau grand roux devant lui l’interpella. Peut-ĂȘtre que cette fois-ci serait la bonne ? Ah mais pas question de se tromper lamentablement encore. Il lui fallait ĂȘtre certain et recertain de l’identitĂ© du sorcier et cela nĂ©cessitait l’examen de son visage. De son habiletĂ© habituelle, Finlay se faufila vers la droite et passa derniĂšre les kiosques en marchant vite. Puis, lorsqu’il jugea dĂ©tenir une bonne longueur d’avance sur le Peut-Être-Abraham, le jeune McBain retourna sur le chemin principal, faisant ainsi face au prĂ©sumĂ©. Plus aucun doute c’était bien sa posture, son nez immanquable, ses yeux pĂ©tillants. Il s’avança tranquillement en souriant de ces retrouvailles, puis, arrivĂ© Ă  destination, Ă©treignit chaleureusement son ami d’enfance. Te retrouver n’aura pas Ă©tĂ© une partie de Quidditch, ça non ! » Il se recula de quelques pas pour mieux admirer la transformation de son ami qui avait passĂ© de la fin de son adolescence – moment pas toujours glorieux – au dĂ©but de sa vie adulte. Finlay jeta sur Abraham un regard Ă  la fois paternel, fraternel et amical. Puisque leur relation s’était caractĂ©risĂ©e par le passage d’une de ces phases Ă  l’autre, certains plis restaient les mĂȘmes. Pardonne mon commentaire on-ne-peut-plus clichĂ©, mais comme tu as changĂ© ! Et pour le mieux! MĂ©lusineAdminMessages 463Date d'inscription 07/07/2008Sujet Re Be yourself, everyone else is already taken Dim 19 Jan - 2212 Un sourire me dĂ©vora automatiquement la moitiĂ© du visage. J'ai quelques rĂ©flexes de ce genre, façon mouton de Panurge, dans mes tiroirs. LĂ , tout de suite et maintenant, c'Ă©tait le rĂ©flexe Finlay McBain. Nous avions changĂ©, nous avions peut-ĂȘtre grandi notez le peut-ĂȘtre », mais ce type me faisait toujours le mĂȘme effet qu'au dĂ©but de notre histoire. Ou, disons, au presque dĂ©but. La bonne humeur qui vient me chatouiller la poitrine, un besoin secret de l'impressionner, et une envie furieuse d'Ă©clater de rire pour un rien. C'Ă©tait aussi l'une des rares personnes avec lesquelles je me sentais moi. Juste moi. Et c'Ă©tait un trĂ©sor trop prĂ©cieux pour ĂȘtre multitude de questions viendra-t-il ? », le reconnaĂźtrai-je ? », et si on n'avait plus rien Ă  se dire ? », et s'il Ă©tait devenu un petit crĂ©tin prĂ©tentieux ? », ou aussi banal que le pĂ©quenaud moyen ? » - oui, ça pouvait arriver, mĂȘme aux Ă©lĂ©ments les plus prometteurs... et j'aurais alors non seulement perdu un ami, mais potentiellement massacrĂ© la moitiĂ© de mes meilleurs souvenirs. Bon, certes, pouvait-on appeler ami » quelqu'un dont on Ă©tait sans nouvelles depuis tout ce temps... ? Je dĂ©cidai, en mon for intĂ©rieur, que oui, et, ma foi, si vous n'ĂȘtes pas d'accord, allons en dĂ©battre autour d'un whisky. Mardi soir ? C'est notĂ©. Fin de la parenthĂšse., les questions, donc, et les doutes qui m'avaient assailli s'Ă©taient envolĂ©s dĂšs que Finlay avait surgi sous mon nez. J'attrapai un bout de citrouille qui s'Ă©tait greffĂ© Ă  ses cheveux et m'amusai Je vois que tu as trouvĂ© mon message... »J'Ă©tais bien curieux de savoir ce qu'Ă©tait devenu ma citrouille expĂ©rimentale mais jugeais que cette anecdote pouvait bien attendre encore un crois que je ne rĂ©alisais pas complĂštement que Fin Ă©tait bien lĂ , devant moi, en chair, en os et en sourire saluai tant bien que mal ses premiers mots d'un vague haussement d'Ă©paules. Je n'avais pas tellement le sentiment d'avoir changĂ©. Physiquement, j'avais probablement grandi, mĂ»ri, mais intĂ©rieurement, je me sentais toujours le mĂȘme. IdĂ©aliste, rĂȘveur, anti-conformiste et particuliĂšrement immature. On ne se refaisait pas. Mais j'avais Finlay, juste sous les yeux, et lui non plus n'Ă©tait pas exactement tel que je l'avais laissĂ©. Je dĂ©cidai pourtant qu'il Ă©tait toujours celui que j'avais connu. J'imagine que j'ai l'optimisme chevillĂ© au sourire se renforça, tout aussi brutalement Ahah ! A qui le dis-tu ? Tu t'es vu ? Et tireur d'Ă©lite, je vous prie, monsieur... ! »Je le charriai doucement, gentiment. PersuadĂ© comme je l'Ă©tais que, puisqu'aucune beuglante signĂ©e McBain n'Ă©tait venue m'incendier les oreilles, mon ami d'enfance avait toujours un solide sens de l' je l'avais toujours imaginĂ© comme une sorte de savant fou, au MinistĂšre, peut-ĂȘtre, effectivement, mais plutĂŽt du cĂŽtĂ© du dĂ©partement des SortilĂšges ExpĂ©rimentaux, Ă  s'Ă©clater, Ă  inventer de nouveaux malĂ©fices comment faire du caramel, avec du sucre mais sans casserole ; une nouvelle façon de se friser les poils du nez ou encore l'art de faire de l'origami en un seul coup de baguette. Si j'avais Ă©tĂ© un tant soit peu douĂ© en magie, je me serais peut-ĂȘtre recyclĂ© lĂ -dedans, moi aussi. Ou pas. Rester cachĂ© dans un recoin sombre du MinistĂšre jusqu'Ă  avoir homologuĂ© mes sorts... erk, non merci ! Je prĂ©fĂ©rais encore cultiver mes citrouilles. Et tant pis si je ne gagnais pas assez pour aller me dorer sur une plage entourĂ© de vahinĂ©s se dĂ©hanchant au son d'une musique suave. Si j'avais voulu devenir riche et cĂ©lĂšbre, j'imagine que j'avais foirĂ© mon plan de carriĂšre quelque part. Mais ma libertĂ© Ă©tait ma plus grande richesse. Hors de question de la brader Ă  moindre dĂ©tail » aussi, je savais que Finlay McBain serait l'un des rares Ă  le comprendre. Mais nous aurions largement assez de temps, plus tard, demain, pour dissĂ©quer nos curriculum vitae ne disais peut-ĂȘtre pas grand chose je n'ai jamais Ă©tĂ© un grand bavard. Depuis toujours, j'Ă©tais du genre pudique Ă©motionnel. Mais mes yeux qui brillaient et mon air de benĂȘt ravi devaient lui enseigner tout le plaisir que j'avais Ă  le mĂȘme nous en rendre compte, nous avions commencĂ© Ă  dĂ©ambuler cĂŽte Ă  cĂŽte, au milieu des attractions de l'Aberdeenshire Sorcerers' Festival. Je ne pouvais m'empĂȘcher de jeter des regards Ă©merveillĂ©s Ă  tous les deux stands. Quand je n'envoyai pas mes yeux fureter du cĂŽtĂ© de Finlay, comme si, juste avec mes deux prunelles, je pouvais voir au-delĂ  de sa peau. Oui, je sais, ça s'appelle la lĂ©gilimancie, mais si je foire le moindre de mes lumos, vous imaginez bien qu'allez farfouiller dans la tĂȘte des gens m'est aussi facile qu'Ă  un veracrasse d’épeler son nom en me contentais donc de sourire. Et d'admirer. LĂ  ! Un trio de nains s'Ă©tait lancĂ© dans une pantomime Ă  tomber par terre. Et lĂ  ! Un stand de tir de baguette oĂč le gagnant devait non seulement ĂȘtre le plus adroit mais Ă©galement celui qui produirait la plus belle explosion, spectacle son, lumiĂšre et fumĂ©e Ă  l'appui. Une fillette qui devait Ă  peine ĂȘtre en Ăąge de porter baguette m'avait tout l'air d'ĂȘtre bien partie pour remporter la course. Ses explosions de fumĂ©e rose baignaient nos pieds d'un halo de brume colorĂ©e. Avec nos kilts, c'Ă©tait du plus bel effet. J'applaudis ses efforts avec bonne humeur avant de me dĂ©tourner vers d'autres spectacles. Concours de bavboules gĂ©antes, barbapapas multicolores, balais tamponneurs, tout y Ă©tait ! Il ne m'en aurait fallu que le quart du quart pour rĂ©veiller mon engouement pour cette fĂȘte si particuliĂšre. J'ai toujours Ă©tĂ© un grand gamin, m'enthousiasmant pour un rien, et la prĂ©sence de Fin Ă  mes cĂŽtĂ©s semblait dĂ©cupler cet enthousiasme. Il n'y avait vraiment rien de tant palpitant Ă  participer Ă  cette fĂȘte en solo Ă©tait-il utile de prĂ©ciser que ni Sorcha, ni Mae n'avaient daignĂ© y reposer les pieds depuis des annĂ©es ? L'adolescence Ă©tait une pĂ©riode fragile oĂč elles essayaient au mieux de fermer une porte sur l'enfance. S'amuser comme des gosses dans un festival tel que celui-ci aurait probablement dĂ©truit leur rĂ©putation d'adultes en devenir... Je ne m'Ă©tais jamais souciĂ© de telles considĂ©rations. Mais il fallait aussi prĂ©ciser que le jugement des autres m'avait toujours laissĂ© passablement indiffĂ©rent.... Mais dĂšs qu'on avait un compagnon de trollerie au goĂ»t sĂ»r et Ă  l'Ăąme jeune...Je me tournai une nouvelle fois vers Finlay Tu sais, je me suis toujours dit que les Ă©t... »Finlay qui ne saurait jamais ce que je me disais toujours... Je fus brusquement interrompu par un grand craquement aux sonoritĂ©s humides, tandis que des morceaux de quelque chose explosaient de toute part. Je ne ... »Mes yeux mirent deux secondes Ă  peine Ă  identifier le quelque chose en question. Une demi-seconde supplĂ©mentaire pour Ă©clater de rire. J'aurais reconnu un potiron, mĂȘme massacrĂ© et rĂ©duit en purĂ©e, les yeux fermĂ©s. De toute Ă©vidence, nous nous Ă©tions approchĂ©s, sans mĂȘme le vouloir l'instinct, probablement de l'aire consacrĂ©e aux citrouilles-explosers. L'une d'entre elles avait juste pris la clef des champs pour venir nous saluer, allant jusqu'Ă  s’aplatir Ă  nos pieds. Et que l'on ne vienne pas me dire que les citrouilles manquent de bonnes maniĂšres. Fin, mon ami... »* Pourvu que tu n'aies pas changĂ©... *, ajoutai-je intĂ©rieurement, croisant mentalement les doigts. Eh ? Les neurones n'ont pas de doigts ? Essayez donc de me prouver le contraire... A la guerre, comme Ă  la guerre.... Byrnaaaaaaaaaaaaan Blaed * ! » Byrnan Blaed », que nous pourrions traduire par quelque chose comme brĂ»ler du souffle de la vie », Ă©tait, autrefois, notre slogan, notre cri de guerre, Ă  McBain et Ă  moi. Deux mots lancĂ©s comme un dĂ©fi, destinĂ© Ă  nous donner du courage, Ă  se lancer mutuellement des challenges invraisemblaux, Ă  signer nos plus belles aventures et Ă  saluer nos pires doigts mentaux oui, toujours eux et toujours croisĂ©s, se serrĂšrent encore plus fort. L'heure de vĂ©ritĂ© avait sonnĂ© Chiche ? » Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Be yourself, everyone else is already taken Be yourself, everyone else is already taken Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLe Bazarazyn AbrahamSauter vers
Quandje lui demande s'il est libre le week-end, soit il ne me rĂ©pond pas, soit il me dit qu'il est occupĂ© (avec ses Ă©tudes et sa famille) ce que je comprend tout Ă  fait, mais pendant les vacances je sais qu'il a du temps mais on ne se voit quand mĂȘme pas. Il me dit qu'il a des choses Ă  faire, mais c'est toujours comme ça alors que les rares fois oĂč on se
Quand Ircilia Desroix rentre chez elle cet aprĂšs-midi-lĂ , elle n’a pas le temps d’aller voir son fils, Quentin, dans sa chambre."J’avais un rendez-vous important, je suis seulement passĂ©e Ă  la maison en coup de vent ; je me suis dit qu’on aurait bien tout le temps de se voir le lendemain." 24 heures aprĂšs, c’est Ă  la porte d’entrĂ©e que deux policiers viendront frapper. – "Bonjour madame Desroix. Est-ce que l’on peut entrer ?" "J’ai d’abord pensĂ© Ă  une enquĂȘte de voisinage. Mais trĂšs vite, ils m’ont demandĂ© si j’avais un fils qui s’appelait Quentin Desroix. J’ai dit “allez, c’est bon, j’ai compris”. J’ai compris. Je leur ai dit que s’ils Ă©taient lĂ , c’est qu’il y avait eu un accident. Ils m’ont dit oui. J’ai demandĂ© si Quentin Ă©tait mort." – "Oui, madame." Nous sommes le 24 mai 2022, il est 18 heures. Deux heures plus tĂŽt, Quentin, 21 ans, a Ă©tĂ© percutĂ© de plein fouet par un automobiliste alors qu’il roulait au guidon de sa moto, Ă  Saint-Cyr-en-Val. Un rassemblement en hommage Ă  Quentin Desroix, un motard tuĂ© Ă  Saint-Cyr-en-Val, se prĂ©pare pour le 24 septembre, Ă  OrlĂ©ans "Mon fils est mort, tout seul, dans un fossĂ©" Sous la violence du choc, le jeune homme, qui Ă©tait en chemin pour aller retrouver ses enfants, ĂągĂ©s de 2 et 4 ans, a sans doute Ă©tĂ© tuĂ© sur le coup. "Mon fils est mort, tout seul, dans un fossĂ©." Ces jours, ces semaines qui ont suivi jusqu’au procĂšs, Ircilia Desroix a la volontĂ© de les raconter. Son tĂ©moignage est Ă©videmment celui de la douleur d’une mĂšre. Mais aussi d’une entrĂ©e, brutale, dans l’arĂšne judiciaire. Et du courage qu’il faut pour ne rien lĂącher. "Mais avant de savoir tout ça, justement, on ne sait rien." "On ne me dit mĂȘme pas oĂč son corps a Ă©tĂ© emmenĂ©" Les conditions particuliĂšres des "homicides involontaires", ces drames de la route oĂč la justice doit se prononcer sur la responsabilitĂ© des personnes impliquĂ©es, dressent autour des investigations les digues du secret. Alors pendant plusieurs jours, Ircilia Desroix ne saura rien, ou peu, des circonstances dans lesquelles Quentin est mort. "C’est bien simple aprĂšs la venue des policiers le soir mĂȘme, personne ne m’appelle, c’est moi qui contacte la gendarmerie alors en charge de l’enquĂȘte, NDLR. LĂ , on me parle seulement d’un “choc frontal”. Je ne sais pas si mon fils est responsable, je ne sais pas combien de personnes sont impliquĂ©es, on ne me dit mĂȘme pas oĂč son corps a Ă©tĂ© emmenĂ©." Des rĂ©ponses, Ircilia Desroix finira bien par en obtenir le soir mĂȘme. "Par les mĂ©dias. J’apprends que le jeune homme qui a percutĂ© Quentin s’en est tirĂ©. Le lendemain, j’apprendrai, toujours par les mĂ©dias, qu'il conduisait sans permis, et alcoolisĂ©. Et c’est Ă  peu prĂšs tout jusqu’au premier procĂšs." Il se dĂ©roule une vingtaine de jours aprĂšs. Mais en attendant, il faut bien tenter de "se raccrocher". "À tout ce qu’on peut." Des "petits morceaux de Quentin" "Quelques jours aprĂšs l’accident, je me suis rendue sur les lieux. Puisque l’on ne me disait rien, j’avais besoin de voir, de comprendre. J’ai ramassĂ© des petits morceaux de plastique, ceux des vĂ©hicules accidentĂ©s, comme si c’étaient des petits “morceaux de Quentin” mais au final, c’était terrible car je ne savais pas Ă  quoi ils appartenaient Ă  la moto de mon fils, ou Ă  la voiture de celui qui l’a tuĂ© ?" Parce qu’ils contournent les obstacles, Ircilia Desroix et ses proches parviennent Ă  savoir dans quelle morgue le jeune homme a Ă©tĂ© emmenĂ©. Mais les pompes funĂšbres sont claires personne ne pourra voir le corps de Quentin, placĂ© sous scellĂ©s judiciaires. "Mais ils acceptent tout de mĂȘme que l’on vienne se recueillir." Trouver la morgue et se recueillir Alors tous les soirs, Ircilia Desroix ira s’asseoir sur le bitume Ă  l’extĂ©rieur des bĂątiments, contre le mur derriĂšre lequel repose Quentin. Des "secondes d’apaisement" au milieu de la nuit "Je fermais les yeux, et je savais qu’il Ă©tait lĂ , tout prĂšs. Tout ce que je voulais, c’était lui transmettre de l’amour, le rassurer. Je savais qu’on allait prendre son corps, dĂ©jĂ  trĂšs abĂźmĂ© dans l’accident, pour l’ouvrir, encore. Je voulais juste ĂȘtre lĂ  pour lui." Entre l’autopsie pratiquĂ©e dĂ©but juin, la levĂ©e des scellĂ©s... Ircilia Desroix ne pourra voir le corps de son fils qu’au terme de dix-huit jours. Une attente "interminable" rendant les prĂ©mices du deuil impossibles. "Jusqu'au dernier moment, on espĂšre que ce n'est pas lui." Puis voir, c'est constater. Ce corps meurtri, abĂźmĂ©. "Le jour de l'enterrement, j'ai voulu lui mettre son bandeau prĂ©fĂ©rĂ© ; c'est lĂ  que j'ai senti que sa nuque Ă©tait brisĂ©e." AlcoolisĂ©, positif aux stupĂ©fiants, sans permis... Le 13 juin, le procĂšs de l’automobiliste qui a percutĂ© Quentin s’ouvre devant le tribunal judiciaire d’OrlĂ©ans. MatĂ©o Botella, 19 ans, est renvoyĂ© devant la justice pour "homicide involontaire". "Et lĂ , c’est simple on se prend des claques." La premiĂšre, ce sont les juges qui, malgrĂ© eux, la donnent en premier, en Ă©numĂ©rant les infractions reprochĂ©es Ă  MatĂ©o. Le jeune homme Ă©tait alcoolisĂ© 0,8 gr le jour de l’accident, positif aux stupĂ©fiants, son permis avait Ă©tĂ© annulĂ© quelques mois plus tĂŽt pour conduite sous stupĂ©fiants, et il Ă©tait sur son tĂ©lĂ©phone portable au moment du choc. "Mais tout ça, on le dĂ©couvre plus ou moins dans le dĂ©tail puisque notre avocat, qui ne m’a rencontrĂ©e qu’une seule fois puis a Ă©tĂ© peu joignable jusqu’au procĂšs, ne m’a jamais donnĂ© la possibilitĂ© de consulter le dossier d’enquĂȘte." La dĂ©fense parle "d'une Ăąnerie" Claque, encore, quand l’avocate de MatĂ©o qualifie les actes de son client "d’ñneries". Le coup de grĂące est donnĂ© Ă  la fin. Comme il manque des piĂšces au dossier, le procĂšs est reportĂ©. Dans l’attente de ce dernier, MatĂ©o Botella ne va pas en prison mais reste libre sous contrĂŽle judiciaire, mesure sous laquelle il avait Ă©tĂ© placĂ© aprĂšs l'accident, Ă  l'issue de sa garde Ă  vue. "Pour les proches, c'est forcĂ©ment quelque chose de difficile Ă  accepter. Comment expliquer que l’automobiliste qui a tuĂ© mon fils, bien que rĂ©cidiviste et ayant cumulĂ© toutes les infractions possibles, n'aille pas en prison, et n'ira d'ailleurs peut-ĂȘtre jamais ?" "Ce procĂšs, je l’ai vĂ©cu comme si tout le monde s’était organisĂ© pour sauver MatĂ©o, lui Ă©viter la dĂ©tention car il a fait “une Ăąnerie”. MatĂ©o, il ne fallait pas qu'il se retrouve entre les quatre murs d'une prison, pendant que mon fils, dont on Ă©tait en train de prĂ©parer les funĂ©railles, n'avait d'autre choix, lui, que de finir entre quatre planches." La suite est d’abord celle d’un "effondrement". "On a pris le temps d’enterrer Quentin puis, le 22 juin, j’ai relancĂ©, encore une fois, mon avocat. J’avais besoin de faire le point sur le dossier et le premier procĂšs, que l’on m’explique ce qu’il s’était passĂ©. Encore une fois, il n’est pas joignable mais sa secrĂ©taire me donne un rendez-vous
 pour le 5 juillet !" "Et alors lĂ , je m’effondre. Je me dis que ce n’est pas possible, que je ne vais jamais y arriver." Et que ce qui s'est produit au premier procĂšs se reproduira inĂ©luctablement au second. Nous sommes Ă  moins d’un mois de l'Ă©chĂ©ance et, ce soir-lĂ , Ircilia Desroix abandonne "je dĂ©cide que je n’irai pas ; Ă  quoi est-ce que ça sert, de toute façon ?" "Nous Ă©tions arrivĂ©s comme des agneaux" "Le lendemain, je remonte la pente. Je me dis que je dois le faire pour Quentin. Mon fils n’a pas fait de bĂȘtise ; lui Ă©tait en rĂšgle, portait ses Ă©quipements moto, son casque... il avait toute la lĂ©gitimitĂ© d’ĂȘtre lĂ  ce jour-lĂ . Alors avec mes proches, on a resserrĂ© les rangs." Et Ircilia Desroix reprend au commencement. "J’ai changĂ© d’avocat. En soi, on ne l’a pas vu beaucoup plus que le premier mais lui nous a Ă©coutĂ©s et a rĂ©pondu Ă  toutes nos questions. Et il nous a montrĂ© le dossier d’enquĂȘte. Au premier procĂšs, nous Ă©tions arrivĂ©s comme des agneaux." Ce ne sera pas le cas au second. "Vous allez voir, on va y arriver" Le 21 juillet, la salle d’audience n°4 du palais de justice d’OrlĂ©ans est pleine Ă  craquer. Les proches de Quentin sont une quarantaine Ă  ĂȘtre lĂ . "On a mobilisĂ© tout le monde." Tous portent des T-shirt avec une photo du jeune homme, Ircilia Desroix est venue avec un portrait. L’avocat de la famille, maĂźtre Proust, qui prĂ©fĂšre prĂ©parer chacun Ă  l’idĂ©e d’une peine de prison avec sursis, est "reboostĂ©". "Je lui ai dit si si, vous allez voir, on va y arriver." Les proches de Quentin portaient un T-shirt. Pas "la vengeance, mais la justice" Au cours d’une prise de parole puissante, Ircilia Desroix va parler de ce fils qu’elle "reprĂ©sente aujourd’hui, car lui ne peut plus se reprĂ©senter". Ce "papillon", comme elle le surnomme, devenu "papa trĂšs jeune", qui s’apprĂȘtait Ă  reprendre ses Ă©tudes et dĂ©buter une formation dans l’audiovisuel. "Et puis j’ai racontĂ©. J’ai racontĂ© comment ça se passe pour nous, les “familles de victimes”." Les proches de Quentin avaient fait le dĂ©placement avec un portrait du jeune homme. "Je n'attaque personne" Vers 18 heures, le dĂ©libĂ©rĂ© tombe MatĂ©o Botella, qui a prĂ©sentĂ© ses excuses lors du procĂšs, est condamnĂ© Ă  cinq ans de prison, dont deux ans ferme. Une victoire pour la famille Desroix, "mais attention", prĂ©vient et insiste la mĂšre de Quentin. "TĂ©moigner de notre douleur, de l'errance dans laquelle nous nous sommes retrouvĂ©s, est pour nous une façon de sensibiliser. Je n'attaque personne gendarmes, avocats, juges ou procureur... chacun a fait son mĂ©tier. Je dĂ©nonce un systĂšme, dans l'espoir qu'il puisse peut-ĂȘtre ĂȘtre un peu amĂ©liorĂ©." "Pour mon fils, je n’ai jamais rĂ©clamĂ© la vengeance, mais la justice. Je n’ai jamais souhaitĂ© que MatĂ©o paye, mais qu’il soit puni. Aucune peine, 20 ans, 30 ans... n'aurait Ă©videmment Ă©tĂ© susceptible de me ramener Quentin." "Mais je voulais au moins que MatĂ©o soit condamnĂ© Ă  de la prison ferme. Si ça n’avait pas Ă©tĂ© le cas, c’est comme si on m’avait dit que la vie de Quentin ne valait rien." Sarah Bourletias

Tucroit que je suis heureuse parce que je te dit que je vais bien, parce que je sourit, et que je suis toujours celle qui Ă  la pĂȘche, tu prĂ©tend me connaitre par coeur, mais tu te trompes, si je te dit que je vais bien, c'est simplement pour essayer de m'en convaincre moi-mĂȘme, la vĂ©ritĂ© c'est que non sa va pas, et tu sais pourquoi, sa va pas,

Élevé en tant que musulman , Soroush* dit qu'il a toujours eu Dieu à l'esprit. Il priait cinq fois par jour et lisait le Coran . "Je voulais connaÃtre Dieu et je voulais connaÃtre la vérité, mais je n'ai jamais trouvé la paix et la tranquillité", dit-il. Il dit que son dĂ©sir Ă©tait de rejoindre l'armĂ©e, alors pendant la guerre civile en Afghanistan 1996-2001, il a dĂ©cidĂ© de s'enrĂŽler. Je voulais combattre Daech autre dĂ©signation de l'État islamique, les talibans ou tout autre groupe. Pour ĂȘtre honnĂȘte, je ne savais pas contre qui je voulais me battre ou contre qui j'allais me battre. Mais cela n'a pas fonctionnĂ©. Dieu ne voulait pas que je tue qui que ce soit », dit-il. En raison de sa dĂ©votion religieuse, il dit que la nuit, quand il s'est endormi, il a commencĂ© Ă  pleurer en demandant la paix Ă  Dieu. DĂ©sir de vengeance Soroush a fait face Ă  de grands dĂ©fis dans sa vie, dont la perte de sa sƓur. Elle a Ă©tĂ© tragiquement tuĂ©e dans un incendie. "Cela m'a complĂštement brisĂ©. Je voulais trouver la personne responsable de son meurtre et je voulais la tuer », dit-il. Il explique que la vengeance coule dans le sang des Afghans. Nous sommes poussĂ©s Ă  obtenir justice par tous les moyens », dit-il. "Ma sƓur unique m'a Ă©tĂ© enlevĂ©e, alors je voulais la venger, mĂȘme si cela signifiait que je perdrais la vie dans le processus. La vie Ă©tait pleine de problĂšmes et des pensĂ©es de vengeance Ă©taient toujours dans mon esprit. Un chemin alternatif Lorsqu'il a quittĂ© l'Afghanistan, Soroush dit que le tourment l'a suivi. "Pendant certains de mes jours les plus difficiles, un ami trĂšs cher m'a approchĂ© quand il m'a vu pleurer et pleurer. Il a dit Je ne peux rien faire pour vous sauf une chose. J'ai un Evangile que je peux vous donner. Lis le. Lis le'". Soroush dit qu'il a pris la Bible qu'il venait de gagner, mais qu'il l'a laissĂ©e dans un coin pendant deux semaines. Quand j'ai repris le travail, je n'arrĂȘtais pas de pleurer jour et nuit », se souvient-il. AccompagnĂ© d'une tristesse qui semblait sans fin, Soroush dit que finalement, un jour, il a dĂ©cidĂ© d'ouvrir l'Evangile et a commencĂ© Ă  lire. Des mots et des phrases ont commencĂ© Ă  me sauter dessus, comme 'Pardonne, afin que tu sois pardonnĂ©' et 'Dieu a tant aimĂ© le monde qu'il a donnĂ© son Fils unique pour toi.' Ces versets ont touchĂ© mon cƓur », partage-t-il. "La paix du Seigneur s'est dĂ©versĂ©e sur moi et a Ă©teint le feu qui brĂ»lait dans ma poitrine", tĂ©moigne Soroush, dont l'histoire a Ă©tĂ© partagĂ©e sur le programme SAT-7 Signal en persan . AprĂšs cela, Soroush a pu entrer en contact avec un pasteur et lui parler de ses problĂšmes. "Je lui ai dit 'Je veux comprendre ce que j'ai lu sur le pardon pour pouvoir ĂȘtre pardonnĂ©. La Bible dit que je dois aussi pardonner Ă  mes ennemis. De quoi s'agit-il ?" demanda-t-il, intĂ©ressĂ© par la promesse de l' Ecriture . AprĂšs l'avoir Ă©coutĂ©, le pasteur lui rĂ©pond Saviez-vous que lorsque vous Ă©tiez encore pĂ©cheur, JĂ©sus a donnĂ© sa vie pour vous afin que vous ayez la vie ? Soroush dit que cela l'a laissĂ© sans voix, mais pas sans agir. J'ai dĂ©cidĂ© de rejoindre une Ă©glise , oĂč j'ai vu des gens adorer Dieu librement. Je me suis sentie en paix en Ă©coutant les messages et j'ai finalement commencĂ© Ă  sourire », dit-elle. Remarquant qu'il commençait Ă  sourire, Soroush posa au pasteur une simple question "Comment puis-je devenir l'un de vous ?" La rĂ©ponse du pasteur Ă©tait Ă©galement simple mais transformatrice Vous avez juste besoin de mettre votre foi en JĂ©sus, de prier pour le salut et de donner votre cƓur au Christ. Alors vous trouverez la paix. L'Esprit du Seigneur vivra en vous. À ce moment-lĂ , j'ai priĂ© et j'ai souri pendant tout le chemin du retour. C'Ă©tait la premiĂšre nuit oĂč j'avais la paix alors que je m'endormais. Le lendemain, je me suis rĂ©veillĂ© avec une sensation de bien-ĂȘtre et j'ai appelĂ© ma famille avec joie », se souvient-il. Une vie transformĂ©e La premiĂšre chose que Soroush a faite a Ă©tĂ© de dire Ă  sa famille qu'il avait pardonnĂ© Ă  la personne qui avait tuĂ© sa sƓur. Ils m'ont demandĂ© 'Comment ?' et je leur ai parlĂ© de JĂ©sus et de la façon dont il a dit que nous devrions pardonner Ă  nos ennemis », se souvient-il. Soroush dit que personne ne pouvait croire ce qu'il disait. La personne qu'ils connaissaient, qui avait un penchant pour la vengeance , s'Ă©tait transformĂ©e au point de surprendre tout le monde

Jeme lamente jour et nuit devant mon Dieu pour obtenir son secours et qu’il me parle. Mais je me rends moi-mĂȘme compte que je suis un frein Ă  cette relation que le Seigneur a permise que j

Bonjour, VoilĂ  maintenant 3 ans que je suis complĂȘtement perdue. En fait depuis la fin de mes Ă©tudes. J'ai alors commencĂ© un job dans un banque, qui ne me plait pas plus que ça. J'ai plusieurs fois changĂ© de service mais rien ne change. Je suis secrĂ©taire mais je n'arrive pas Ă  trouver mon travail gratifiant, je ne me sens pas utile. Le problĂšme c'est que je n'arrive pas Ă  trouver ce que je veux faire dans ma vie. Je sais que beaucoup de gens ne se casserait pas trop la tĂȘte avec ça. Mais moi je n'arrive pas Ă  me sentir heureuse. J'ai dĂ©jĂ  essayĂ© deux fois une orientation de carriĂšre. La premiĂšre fois j'avais alors dĂ©cidĂ© de faire des Ă©tudes d'instit, mais j'ai abandonnĂ©. J'avais beaucoup trop de stress durant les stages, malgrĂ© que le boulot me plaisait bien... la deuxiĂšme fois la personne qui m'a aidĂ© Ă  m'orienter m'a avouĂ©e ne plus savoir m'aider non plus... Je vais chez une psy depuis plus ou moins 2 ans. J'Ă©tais en relation avec qqn pendant 7 ans et j'ai rompu il y a qq mois. Rien ne va, je n'arrive pas Ă  savoir qui je suis, ce que j'aime vraiment et Ă  prendre une dĂ©cision. j'ai pensĂ© partir Ă  l'Ă©tranger pendant qq mois pour faire du bĂ©nĂ©volat et me vider la tĂȘte, mais je n'arrive pas Ă  me dĂ©cider car 1 j'ai peur qu'en revenant je n'ai toujours pas de rĂ©ponse Ă  mes questions 2 que je ne sois peut-ĂȘtre pas assez forte pour aider les autres alors que je n'arrive pas Ă  m'aider moi-mĂȘme. J'ai aussi pensĂ© Ă  reprendre des Ă©tudes, mais comment me dĂ©cider? Plusieurs choses m'intĂ©ressent, mais je ne sais pas dans quoi me lancer. J'aimerais avoir des conseils, j'en parle beaucoup autour de moi mais j'ai l'impression d'ĂȘtre incomprise et de saouler les gens Ă  la fin avec mes prises de tĂȘte. Si d'autres personnes sont dans la mĂȘme situation, ou si d'autres personnes ont Ă©tĂ© dans cette situation et finalement trouvĂ© une solution cela m'intĂ©resserait de savoir... merci Ă  touspassiflora2, le 4/17/2011Bonjour Claralyse, Je trouve ton message poignant... tu as conscience alors que tu sembles si jeune que ta place n'est pas derriĂšre un bureau Ă  taper sur un ordinateur... C'est une chose dont tu dois tenir compte et dont tu dois t'occuper mĂȘme si ça saoule ton entourage... Certes, il est important de voir un psy si ça t'aide mais ce n'est pas lui qui va faire que tu trouveras ta voie... Il m'a fallu arriver Ă  40 ans pour ça Ă  cause d'une double mauvaise orientation... Ne lĂąche pas l'affaire il en va de ton Ă©quilibre... donc je te conseille d'aller voir une autre personne spĂ©cialiste de l'orientation pour t'aider... Attention, les meilleures sont celles qui ont des cabinets indĂ©pendants et peut-ĂȘtre que tu devras la payer, mais ça vaut le coup... Allez courage et surtout continue Ă  t'intĂ©resser Ă  tout... ça te servira de toutes façons...Nous sommes nombreux dans ce cas , avec toutes ces interrogations ... En mĂȘme temps c'est assez reprĂ©sentatif de la sociĂ©tĂ© dans laquelle nous Ă©voluons nous avons tout Ă  portĂ©e de main , mĂȘme trop , et nous ne savons qu'en faire . Le bonheur est souvent lĂ  dans nos mains mais nous ne savons pas jouer nos cartes ... Alors le temps passe et nous le regardons passer ... J'ai l'impression de tout avoir , de ne manquer de rien ... et pourtant il y a un vide , un manque , c'est l'inconnu , je l'attends , je l'espĂšre mais je ne sais mĂȘme pas le dĂ©finir ... Ce que je cherche ne serait-il pas la facultĂ© de voir et de savourer tout ce qui est lĂ  , prĂ©sent pour moi ? De profiter de l'instant prĂ©sent . D'arrĂȘter de ruminer le passĂ© et de fantasmer l'avenir ?? N'est ce pas cette libertĂ© de se dĂ©tacher du matĂ©riel ? Nous courrons aprĂšs quelque chose que ni nous ni personne ne comprenons . Ce quelque chose ne serait-il pas tout simplement un regard neuf , sur la vie , sur le monde , sur nous mĂȘme ??Anonymous1552069, le 4/27/2011Salut! Je te comprends trĂšs bien aussi, j'ai 33 ans, quand je regarde en arriĂšre j'ai la sensation de n'avoir rien fait de ma vie et quand je regarde en avant, c'est encore pire, le tunnel sans fin, aucune lumiĂšre Ă  l'horizon... je suis sans emploi et j'essaie de me rĂ©orienter mais rien ne m'attire, comme si quoique je fasse ma vie Ă©tait vouĂ©e Ă  l'Ă©chec. Je pense que nous sommes nombreux dans cette situation mĂȘme si certains n'osent pas le reconnaĂźtre et prĂ©fĂšrent paraĂźtre heureux aux autres. C'est sans doute dans l'air du temps... le monde d'aujourd'hui est compliquĂ© et on a parfois du mal Ă  y trouver notre place. Quoiqu'il en soit, il faut que tu positives, que tu avances et que tu apprĂ©cies les petites joies de l'existence en te disant que chaque chose arrive en son temps et que c'est parfois au moment oĂč l'on s'y attend le moins que l'on trouve une solution Ă  un problĂšme. Je te parle pas de miracle, bien sĂ»r, mais je veux dire que la roue tourne et que aprĂšs la pluie vient le beau temps... c'est pareil pour nous... il faut juste ĂȘtre patient et ne pas se laisser aller au dĂ©sespoir qui lui n'apporte jamais rien de bon. Bon courage!Anonymous1551832, le 4/23/2011slt je veux vous parler je suis interessĂ© par votre situation voici mon email hakimjsmb le 4/26/2011bonsoir claralyse Je vis exactement la mĂȘme situation, j'Ă©tais il y a encore quelques mois chef d'entreprise mais depuis plusieurs annĂ©es je m'ennuyais. J'ai vendu mon affaire et entamĂ© une analyse. J'ai pourtant 45 ans, j'ai une vie confortable, des enfants en parfaite santĂ© et qui rĂ©ussisent...mais...je n'arrive pas Ă  Ă©tre heureux. C'est trĂ©s enĂ©rvant ! je te comprend oh combien ! Mais je vais y arriver je m'accroche, je me donne de petits objĂ©ctifs puis de plus grand et je n'hĂ©site pas Ă  revenir en arriĂ©re...Il faut se donner du temps je crois, et ne pas vivre la vie que l'on a pas choisie. Je te souhaites de rĂ©ussir, tu peux me laisser un message, j'y rĂ©pondrais volontier. Accroches toi, la vie est si belle, mais parfois on ne le vois pas! ramsesCependant si je peux me permettre un petit avis tu dis vouloir partir Ă  l'Ă©tranger et faire du bĂ©nĂ©volat mais tu craints ne pas rĂ©ussir Ă  aider les autres . Pour ĂȘtre dans ce cas , je peux te confirmer que je m'Ă©panouis bien plus Ă  Ă©couter et Ă  aider les autres qu'Ă  trouver des solutions pour moi mĂȘme ! Je trouve enfin mon Ă©quilibre dans ma relation avec les autres, dans la notion d'entraide . Et les autres t'auront tant apportĂ© que les rĂ©ponses Ă  tes questions seront peut ĂȘtre arrivĂ©es tout simplement ...Anonymous1552660, le 5/3/2011Bonjour, j'ai 34 ans et je comprends trĂšs bien ce que tu vis. Moi aussi je n'arrive toujours pas Ă  m'Ă©panouir dans un domaine d' si actuellement je suis en 1Ăšre annĂ©e d'Ă©cole infirmiĂšre je me rends compte que j'aurais du mal Ă  boucler les 2 annĂ©es Ă  suivre. Je m'y efforce malheurreusement par dĂ©sespoir de me retrouver au chĂŽmage situation que j'ai connu pendant 3 ans. Beaucoup de gens connaissent sĂ»rement ce sentiment. Tu n'es pas seule. Je te souhaite bon Je suis nouveau. J ai dĂ©cidĂ© de franchir le pas suite a une dĂ©ception amoureuse qui me fait beaucoup de mal et qui ma permit d ouvrir les yeux. En effet depuis mon divorce qui remonte maintenant a 6 ans j ai l impression de ne plus ĂȘtre heureux de n avoir aucun but dans la vie. On m avait dĂ©jĂ  signaler que lorsque l'on me rencontrait j avais toujours l impression d'ĂȘtre malheureux, triste. C est vrai qu' en moi j avais l impression qu'il me manquait quelque chose, qu'il y avait un vide. Apres mon divorce j ai rencontrer quelqu' un de trĂšs gentille, agrĂ©able souriante. Nous sommes rester 4 ans ensemble mais je ne me suis jamais engager a vivre avec elle, mĂȘme si j 'Ă©prouvait des sentiments vis a vis d 'elle. C'Ă©tait une personne formidable mais je me sentait toujours triste avec elle. Pourtant cela n avais rien avoir avec elle . Je n avais rien a lui reprocher contrairement a elle qui pouvait me repprocher mes silences, mes moments ou je donnais l impression de ne pas ĂȘtre lĂ . C est moi qui ai pris la dĂ©cision de terminer cette relation a contre cƓur car je ne voulais pas la blesser. Cela a Ă©tĂ© trĂšs dure pour moi, pour elle mais c Ă©tait ce qui avait de mieux a faire. Par la suite j ai rencontrer une autre personne totallement oppose a elle qui m' a ouvert les yeux sur les problĂšmes que j avais. Au dĂ©but tout ce passait bien et derniĂšrement elle c' est rendu compte que j avais des problĂšmes au niveau de l'estime de moi mĂȘme, manque de confiance, peur de faire mal les choses. En me posant simplement des questions simples elle m'a fait prendre conscience que je ne savais pas ce que je voulais dans la vie, que je n' avais pas de but, que j Ă©tais lĂ  sans ĂȘtre lĂ , que je ne m' n'avais qu'une envie c'Ă©tait de donner. J avais du mal a recevoir que ce soit en Ă©change en amour. Apres une discution on en ai venu a la dĂ©cision de se sĂ©parer car elle recherchait quelqu'un qui pourrait lui apporter quelque chose, la surpendre, la soutenir ce que je pense je ne pouvais pas lui apporter. Depuis je suis triste, dĂ©prime mais cela m'a fait prendre conscience qu'il fallait que je fasse un travail sur moi mĂȘme et j ai donc dĂ©cide de prendre contact avec un psychotĂ©rapheute. J' ĂšspĂšre que cette dĂ©marche sera bĂ©nĂ©fique pour moi et qu'elle pourrat a l avenir m'aider a mieux me connaitre et savoir ce que je veux. DĂ©sole si j'ai Ă©tĂ© un peu long mais j'avais simplement envie d' Ă©crire cela pour me libĂšrer. Merci.''j'ai tout essaye pour trouver, mais je ne vois pas le but a ma vie''... j'ai envie de te dire, que le but de ta vie c'est surement de trouver le bonheur, en tout cas c'est le mien, enfin aujourd'hui, je l'ai trouve et le but c'est de le cultiver et de le partager avec ceux que j'aime, et meme les autres. La question est surtout il me semble de trouver l'essentiel de ce que tu veux vivre. On ne peux pas tout avoir dans une vie... alors il y a des choix a faire et ce qui nous rend heureux c'est bien de reussir ce que l'on veux vraiment mais attention, ''reussir dans la vie ce n'est pas reussir sa vie'''Merci encore pour vos messages. Je comprends bien que je ne dois pas ĂȘtre trop exigeante, mais la je craque... J'ai Ă©tĂ© chez le mĂ©decin cette semaine et je lui ai tout expliquĂ©, il m'a dit que je faisais une petite dĂ©pression, et actuellement je suis en congĂ© maladie. Je veux vraiment sortir de cette situation mais malheureusement je ne trouve pas de solutions. Le mĂ©decin m'a dit que le problĂšme Ă©tait surtout que je n'avais pas confiance en moi et il m'a conseillĂ© de suivre des cours d'assertivitĂ© pour renforcer ma confiance en moi. Je suis un peu sceptique aprĂšs une psychothĂ©rapie de +_ 2 ans toujours en cours et je suis vraiment Ă  bout. Je pense m'ĂȘtre trompĂ©e de direction et peut-ĂȘtre devrais-je me rĂ©orienter vers le social assistante sociale, Ă©ducatrice...psychologie Mais le problĂšme c'est que j'ai peur de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur. Comme quand j'avais fait des Ă©tudes d'instit combinĂ© avec mon travail j'ai arrĂȘtĂ© car trop peur de ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur + stress...12
Jesuis toujours devant tout le monde mais personne ne peut me voir. Qui suis-je ? Posté par Jonathan le 14/07/2016 à 02:23:49. Je suis toujours devant tout le monde mais personne ne peut me voir. Qui suis-je ? Posté par camille le le 14/07/2016 à 02:25:26 . L'avenir Ajouter une réponse
Par Xiaorui, SuĂšde En juillet dernier, j’ai Ă©tĂ© chargĂ©e d’un travail vidĂ©o. Au dĂ©but, j’assurais rĂ©guliĂšrement le suivi du travail de mes frĂšres et sƓurs. Je me renseignais sur leurs problĂšmes et leurs difficultĂ©s dans leurs devoirs, puis je travaillais avec le dirigeant d’équipe pour chercher la vĂ©ritĂ© et trouver des solutions. GrĂące Ă  la direction de Dieu, les rĂ©sultats du travail se sont nettement amĂ©liorĂ©s aprĂšs quelque temps. J’ai pensĂ© Maintenant que le travail progresse rĂ©guliĂšrement, il ne devrait pas y avoir de gros problĂšmes. MĂȘme si un problĂšme survient, ça n’affectera pas nos rĂ©sultats et on aura le temps de le rĂ©soudre. Puisque tout le monde est dynamique dans son devoir et capable de payer un prix, je n’ai pas besoin de trop m’inquiĂ©ter. Je fais souvent des heures supplĂ©mentaires pour assurer le suivi du travail et il arrive que je sois trop occupĂ©e pour manger Ă  l’heure. Je ne suis pas en plein forme, alors je devrais m’épargner un peu. » AprĂšs ça, j’ai commencĂ© Ă  me relĂącher vis-Ă -vis du travail et je me suis moins tenue informĂ©e. Parfois, je ne posais que des question superficielles, je me penchais rarement sur les dĂ©tails des devoirs de mes frĂšres et sƓurs et je ne me suis pas demandĂ© comment amĂ©liorer encore les rĂ©sultats de notre travail. Rapidement, plusieurs vidĂ©os qu’on a produites on prĂ©sentĂ© des problĂšmes et dĂ» ĂȘtre refaites, ce qui a directement affectĂ© le progrĂšs du travail. Cette situation m’a beaucoup inquiĂ©tĂ©e. J’ai aussi compris que ça ne s’était pas produit par hasard et que j’avais des leçons Ă  en tirer, alors j’ai priĂ© Dieu, Lui demandant de me guider pour que je comprenne Sa volontĂ©. AprĂšs avoir priĂ©, j’ai demandĂ© au dirigeant d’équipe pourquoi on avait ces problĂšmes. Il a rĂ©pondu Certains frĂšres et sƓurs cherchent Ă  rĂ©ussir vite et accomplissent leurs devoirs sans principes. Ils ne se soucient que de progresser, pas de bien faire. Il y a aussi que, n’ayant pas surveillĂ© le travail, je n’ai pas dĂ©couvert les problĂšmes Ă  temps. » J’ai pensĂ© avec colĂšre Combien de fois t’ai-je parlĂ© de ces problĂšmes ? Pourquoi se produisent-ils encore ? » J’ai eu envie de rĂ©primander le dirigeant, mais ensuite je me suis dit N’ai-je pas le mĂȘme problĂšme que le dirigeant d’équipe ? Je n’ai pas surveillĂ© le travail non plus. » J’ai donc ravalĂ© mes paroles. Ensuite, j’ai vite vĂ©rifiĂ© les vidĂ©os que tout le monde avait faites durant cette pĂ©riode. J’ai dĂ©couvert que certains n’avaient pas progressĂ© dans leurs devoirs, et que certains avaient mĂȘme rĂ©gressĂ©. Il y avait des problĂšmes Ă©vidents que je n’avais pas dĂ©couverts. J’avais bien conscience que c’était dĂ» au fait que je n’avais pas fait de travail concret. Prise de remords, j’ai priĂ© Dieu, Lui demandant de me guider pour que je rĂ©flĂ©chisse et me connaisse. Le lendemain, pendant mes dĂ©votions, j’ai lu un passage de la parole de Dieu. Si tu n’es pas assidu Ă  la lecture des paroles de Dieu et que tu ne comprends pas la vĂ©ritĂ©, alors tu ne pourras pas rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme tu te contenteras simplement de faire un effort symbolique, de ne commettre aucune transgression, et d’utiliser cela comme capital. Tu passeras chaque jour dans la pagaille, tu vivras dans un Ă©tat de confusion, tu feras simplement les choses dans les dĂ©lais, tu ne t’appliqueras pas, tu n’engageras jamais ton esprit et tu seras toujours superficiel et bĂąclĂ©. De cette façon, tu n’accompliras jamais ton devoir selon une norme acceptable. Pour consacrer tous tes efforts Ă  quelque chose, tu dois d’abord y mettre tout ton cƓur ce n’est que lorsque tu mets tout ton cƓur dans quelque chose que tu peux y consacrer tous tes efforts et faire de ton mieux. Aujourd’hui, il y a ces gens qui ont commencĂ© Ă  ĂȘtre assidus dans l’accomplissement de leur devoir, ils ont commencĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  la maniĂšre d’accomplir correctement le devoir d’un ĂȘtre créé afin de satisfaire Dieu. Ils ne sont pas nĂ©gatifs ni paresseux, ils n’attendent pas passivement que le SupĂ©rieur donne des ordres mais prennent des initiatives. À en juger par la façon dont vous accomplissez votre devoir, vous ĂȘtes un peu plus efficaces qu’avant, et mĂȘme si c’est toujours en dessous de la norme, il y a eu un petit progrĂšs, ce qui est bien. Mais vous ne devez pas vous contenter du statu quo, vous devez continuer Ă  chercher, continuer Ă  grandir ce n’est qu’alors que vous accomplirez mieux votre devoir et atteindrez un niveau acceptable. Certains, cependant, lorsqu’ils accomplissent leur devoir, ne mettent jamais tout en Ɠuvre et ne donnent pas tout, ils n’y consacrent que 50 Ă  60 % de leurs efforts et se dĂ©brouillent jusqu’à ce que ce qu’ils font soit terminĂ©. Ils ne peuvent jamais maintenir un Ă©tat de normalitĂ© lorsqu’il n’y a personne pour les surveiller ou leur offrir un soutien, ils se relĂąchent et perdent courage ; quand il y a quelqu’un pour partager la vĂ©ritĂ©, ils se redressent, mais si la vĂ©ritĂ© ne leur est pas communiquĂ©e pendant un certain moment, ils deviennent indiffĂ©rents. Quel est le problĂšme quand ils hĂ©sitent toujours comme cela ? C’est ainsi que sont les gens quand ils n’ont pas obtenu la vĂ©ritĂ©, ils vivent tous par passion, une passion qui est extrĂȘmement difficile Ă  entretenir il faut qu’il y ait quelqu’un pour leur prĂȘcher et Ă©changer avec eux tous les jours ; une fois qu’il n’y a plus personne pour les abreuver et les nourrir, et plus personne pour les soutenir, leurs cƓurs se refroidissent Ă  nouveau, ils se relĂąchent une fois de plus. Et quand leur cƓur s’affaiblit, ils deviennent moins efficaces dans leur devoir ; s’ils travaillent plus dur, l’efficacitĂ© augmente, ils accomplissent leur devoir de façon plus productive et ils obtiennent plus. Est-ce lĂ  votre expĂ©rience ? Vous pourriez dire “Pourquoi avons-nous toujours du mal Ă  accomplir notre devoir ? Lorsque ces problĂšmes sont rĂ©solus, nous sommes revigorĂ©s ; quand ils ne le sont pas, nous devenons indiffĂ©rents. Quand nous accomplissons notre devoir et que cela produit quelque rĂ©sultat, quand Dieu nous loue pour notre croissance, nous sommes ravis et nous sentons que nous avons enfin grandi, mais avant longtemps, quand nous rencontrons une difficultĂ©, nous redevenons nĂ©gatifs pourquoi ce genre d’état toujours incohĂ©rent ?” En fait, les principales raisons sont que vous comprenez trop peu de vĂ©ritĂ©s, vous manquez de profondeur dans les expĂ©riences et l’entrĂ©e, il reste beaucoup de vĂ©ritĂ©s que vous ne comprenez toujours pas, vous manquez de volontĂ© et vous ĂȘtes satisfaits de simplement ĂȘtre capables d’accomplir votre devoir. Si vous ne comprenez pas la vĂ©ritĂ©, comment pouvez-vous accomplir votre devoir de maniĂšre adĂ©quate ? En fait, ce que Dieu demande aux gens leur est tout Ă  fait rĂ©alisable ; tant que vous Ă©coutez votre conscience et ĂȘtes capable de suivre votre conscience dans l’accomplissement de votre devoir, il vous sera facile d’accepter la vĂ©ritĂ©, et si vous pouvez accepter la vĂ©ritĂ©, vous pourrez accomplir votre devoir de maniĂšre adĂ©quate. Il faut que vous vous disiez “En croyant en Dieu pendant ces annĂ©es, en mangeant et en buvant les paroles de Dieu pendant ces annĂ©es, j’ai Ă©normĂ©ment gagnĂ©, et Dieu m’a accordĂ© de grandes grĂąces et de grandes bĂ©nĂ©dictions. Je vis entre les mains de Dieu, je vis sous la puissance de Dieu, sous Sa domination et Il m’a donnĂ© ce souffle, donc je dois engager mon esprit et tĂącher d’accomplir mon devoir de toutes mes forces voilĂ  l’essentiel.” Les gens doivent avoir de la volontĂ© seuls ceux qui ont de la volontĂ© peuvent vraiment lutter pour la vĂ©ritĂ©, et ce n’est qu’une fois qu’ils ont compris la vĂ©ritĂ© qu’ils peuvent accomplir leur devoir correctement, satisfaire Dieu et faire honte Ă  Satan. Si tu as ce genre de sincĂ©ritĂ© et que tu planifies non pas pour toi-mĂȘme, mais uniquement pour obtenir la vĂ©ritĂ© et accomplir ton devoir correctement, alors tu accompliras ton devoir de façon normale et tu pourras continuer avec constance Ă  l’accomplir. Quelles que soient les personnes ou les circonstances qui pourraient venir t’induire en erreur ou te dĂ©ranger, que ton humeur soit bonne ou mauvaise, tu pourras toujours accomplir ton devoir normalement. De cette façon, Dieu peut rassurer Son esprit Ă  ton sujet, et le Saint-Esprit pourra t’éclairer dans la comprĂ©hension des principes de la vĂ©ritĂ© et te guider dans l’entrĂ©e dans la rĂ©alitĂ© de la vĂ©ritĂ©, si bien que tu seras assurĂ© d’accomplir ton devoir conformĂ©ment aux normes. Tant que tu te dĂ©penses sincĂšrement pour Dieu, que tu accomplis ton devoir d’une maniĂšre terre-Ă -terre et que tu n’agis pas de maniĂšre tortueuse et ne joues pas de tours, tu passeras le cap avec Dieu. Dieu observe l’esprit, les pensĂ©es et les motivations des gens. Si ton cƓur aspire Ă  la vĂ©ritĂ© et que tu peux rechercher la vĂ©ritĂ©, Dieu t’éclairera et t’illuminera » L’entrĂ©e dans la vie est trĂšs importante pour croire en Dieu », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir mĂ©ditĂ© cette parole de Dieu, j’ai compris que les bons rĂ©sultats que j’avais obtenus m’avaient incitĂ©e Ă  me relĂącher et me soucier de ma chair. J’étais fatiguĂ©e, alors je m’étais dit que je devais prendre davantage soin de mon corps, j’avais commencĂ© Ă  me relĂącher et Ă  nĂ©gliger mon devoir. J’avais optĂ© pour le laisser-faire et je ne m’étais pas renseignĂ©e sur la maniĂšre dont les autres accomplissaient leurs devoirs. MĂȘme si je savais qu’il y avait encore des problĂšmes Ă  rĂ©soudre dans notre travail, ça ne me semblait pas urgent. Je m’étais dit que ça irait tant que ça n’affectait pas nos rĂ©sultats du moment, et ça a eu pour consĂ©quences que les vidĂ©os avaient trop de problĂšmes et avaient dĂ» ĂȘtre refaites. En plus, tout le monde tend Ă  faire dans l’à-peu-prĂšs et Ă  se relĂącher dans son devoir par nature, mais, malgrĂ© ça, je n’avais pas assurĂ© le suivi, j’avais nĂ©gligĂ© mon devoir et j’avais Ă©tĂ© inattentive et irresponsable. Comment Ă©tait-il possible qu’aucun problĂšme n’apparaisse ? Dieu m’avait exaltĂ©e et m’avait offert la chance de pratiquer, dans l’espoir que je serais attentive, responsable et consciencieuse dans mon devoir. Quelles que soient les circonstances, je ne devais m’épargner aucun effort dans mon devoir et assumer mes responsabilitĂ©s. C’est le seul moyen de progresser. Mais j’avais traitĂ© mon devoir comme si c’était un emploi pour un patron. J’avais saisi chaque occasion de moins me tracasser et de moins contribuer. Je n’avais ni inquiĂ©tude ni sentiment d’urgence. Je ne me demandais jamais comment mieux faire les choses ou obtenir de meilleurs rĂ©sultats. Je me demandais juste comment faire pour que ma chair souffre moins et que je sois moins fatiguĂ©e. Je ne me souciais pas du tout de la volontĂ© de Dieu. C’est Ă  ce moment-lĂ  que j’ai compris que mon attitude envers mon devoir Ă©tait mauvaise. Je cachais mon cƓur Ă  Dieu et je faisais preuve d’une astuce mesquine. Pendant une rĂ©union, j’ai lu un passage de la parole de Dieu rĂ©vĂ©lant les faux dirigeants qui m’a profondĂ©ment affectĂ©e. La parole de Dieu dit Parce que les faux dirigeants ne comprennent pas l’état d’avancement du travail, il s’ensuit souvent des retards rĂ©pĂ©tĂ©s. Dans certains travaux, les gens ne maĂźtrisant pas les principes et parce qu’en outre, il n’y a personne qui soit compĂ©tent pour les prĂ©sider, ceux qui font le travail sont souvent dans un Ă©tat de nĂ©gativitĂ©, de passivitĂ© et d’attente, ce qui affecte sĂ©rieusement l’avancement du travail. Si le dirigeant s’était acquittĂ© de ses responsabilitĂ©s, s’il avait pris en charge le travail, s’il l’avait fait avancer, s’il avait fait accĂ©lĂ©rer les choses et s’il avait trouvĂ© quelqu’un qui comprenne le type de travail Ă  rĂ©aliser pour guider les autres, le travail aurait progressĂ© plus rapidement au lieu de souffrir de retards rĂ©pĂ©tĂ©s. Pour les dirigeants, il est donc vital de comprendre et de maĂźtriser l’état rĂ©el du travail. Bien entendu, il est grandement nĂ©cessaire que les dirigeants comprennent et maĂźtrisent l’avancement du travail en effet, cet avancement est liĂ© Ă  l’efficience et aux rĂ©sultats que ce travail est censĂ© produire. Si un dirigeant n’a mĂȘme pas la maĂźtrise de l’avancement du travail, alors la plupart du temps, le travail avancera lentement et de maniĂšre passive. La plupart des gens qui accomplissent leur devoir le font de maniĂšre nĂ©gligente, lentement et de maniĂšre passive sans la prĂ©sence de quelqu’un qui aurait une sensation de fardeau et certaines compĂ©tences pour ce type de travail et pour faire accĂ©lĂ©rer le travail, superviser les autres et les guider. C’est aussi le cas en l’absence de critique, de discipline, d’émondage et de traitement. Il est de la plus haute importance que les dirigeants et les ouvriers aient la comprĂ©hension et la maĂźtrise en temps rĂ©el de l’avancement de leur travail, car les gens sont indolents et s’ils ne sont pas guidĂ©s, bousculĂ©s et suivis par les dirigeants, s’il n’y a pas des dirigeants ayant la maĂźtrise et la comprĂ©hension en temps rĂ©el de l’avancement du travail, ils sont susceptibles de se laisser aller, de paresser et d’ĂȘtre nĂ©gligents si c’est lĂ  leur mentalitĂ© par vis-Ă -vis du travail, l’avancement de ce travail en sera gravement affectĂ©, de mĂȘme que son efficacitĂ©. Compte tenu de ces circonstances, les dirigeants et ouvriers qui sont qualifiĂ©s devraient se dĂ©pĂȘcher d’assurer un suivi de chaque partie du travail et rester informĂ©s de la situation concernant le personnel et le travail ; ils devraient absolument ne pas ĂȘtre comme les faux dirigeants. Les faux dirigeants sont nĂ©gligents et indiffĂ©rents dans leur travail, ils n’ont aucun sens des responsabilitĂ©s, ils ne rĂ©solvent pas les problĂšmes lorsqu’ils surviennent, et quel que ce soit le travail dont il s’agit, ils admirent toujours les fleurs en passant au galop. Ils sont nĂ©gligents et indiffĂ©rents, tout ce qu’ils disent est pompeux et creux, ils dĂ©bitent de la doctrine et font les choses mĂ©caniquement. En gĂ©nĂ©ral, c’est lĂ  la maniĂšre dont travaillent les faux dirigeants. Si on les compare aux antĂ©christs, bien qu’ils ne fassent rien d’ouvertement mal et qu’ils ne soient pas dĂ©libĂ©rĂ©ment malveillants et que leur travail ne puisse pas ĂȘtre qualifiĂ© de mauvais de par sa nature, il est cependant juste de dire que du point de vue de l’efficacitĂ©, ce travail se caractĂ©rise par la nĂ©gligence, l’absence de soin et l’absence totale de sensation de fardeau ils n’ont aucune loyautĂ© vis-Ă -vis de leur travail » Identifier les faux dirigeants. AprĂšs avoir lu ces paroles de Dieu, je me suis sentie trĂšs coupable. N’avais-je pas le comportement d’un faux dirigeant ? Parce que j’étais paresseuse et soucieuse de ma chair, je n’assurais pas le suivi du travail et ne le surveillais pas, ce qui affectait gravement le progrĂšs gĂ©nĂ©ral et les rĂ©sultats de notre travail. Mon imagination me soufflait que le travail Ă©tait bien gĂ©rĂ© et qu’il n’y avait pas beaucoup de problĂšmes, mais en rĂ©alitĂ©, il y avait encore de nombreux problĂšmes Ă  rĂ©soudre. Parce que je ne portais pas de fardeau et Ă©tais irresponsable, je m’aveuglais sur tous nos problĂšmes. En y rĂ©flĂ©chissant, je me suis aussi aperçue que j’avais un point de vue erronĂ©. Quand j’ai vu que mes frĂšres et sƓurs Ă©taient dynamiques et progressaient dans leurs devoirs, j’ai pensĂ© qu’ils Ă©taient tous trĂšs motivĂ©s et qu’ils n’avaient pas besoin d’ĂȘtre surveillĂ©s. Les paroles de Dieu ont rĂ©vĂ©lĂ© que les gens avaient une tendance Ă  l’inertie et des tempĂ©raments sataniques. Avant d’avoir gagnĂ© la vĂ©ritĂ© et changĂ© leurs tempĂ©raments, les gens se soucient toujours de leur chair, aspirent Ă  la facilitĂ©, font dans l’à-peu-prĂšs, sont sournois et rusent dans leurs devoirs, et ils agissent selon leurs propres idĂ©es et ne pratiquent pas en accord avec les principes. Je ne faisais pas exception. Sans le jugement et le chĂątiment de Dieu, et sans la surveillance et les rappels Ă  l’ordre de mes frĂšres et sƓurs, je peux facilement me relĂącher et il est probable que des problĂšmes apparaĂźtront dans mon devoir. Il faut donc que j’assure le suivi du travail, que je le supervise, et que je dĂ©couvre et rĂ©solve rapidement les problĂšmes et dĂ©viations dans nos devoirs pour que le travail se fasse sans accroc. Mais mon point de vue Ă©tait absurde. Je ne comprenais pas la nature corrompue des gens et n’envisageais pas les gens et les choses selon la parole de Dieu. Je m’en remettais simplement Ă  mon imagination, je ne vĂ©rifiais pas le travail, n’en assurais pas le suivi, ne rĂ©solvais pas les problĂšmes Ă  temps, mais j’espĂ©rais obtenir de bons rĂ©sultats. C’était une manifestation de faux dirigeant qui ne fait pas de travail concret. MĂȘme si je n’avais commis aucun mĂ©fait Ă©vident, mon irresponsabilitĂ© avait rendu notre travail moins efficace et la perte Ă©tait irrĂ©parable. Plus tard, je me suis ouverte Ă  mes frĂšres et sƓurs et j’ai Ă©changĂ© sur mon Ă©tat. Je leur ai aussi fait remarquer qu’ils avaient tous pris leurs devoirs trop Ă  la lĂ©gĂšre et n’avaient pas essayĂ© de progresser, puis nous avons cherchĂ© des solutions ensemble. AprĂšs ça, j’ai Ă©tĂ© un peu plus sĂ©rieuse dans mon devoir. Quand j’arrĂȘtais de travailler, je me demandais s’il y avait une marge de progression. J’assurais souvent le suivi du travail de mes frĂšres et sƓurs et nos rĂ©sultats se sont amĂ©liorĂ©s. Peu aprĂšs, nous avons rencontrĂ© un problĂšme en faisant des vidĂ©os et le dirigeant d’équipe m’a demandĂ© si j’avais une bonne mĂ©thode Ă  proposer ou des suggestions. Ne sachant pas quoi rĂ©pondre, j’ai dit Je n’ai pas de bonne solution pour le moment, alors continuons Ă  y rĂ©flĂ©chir. » Ensuite, je me suis rendu compte que surmonter cette difficultĂ© allait exiger davantage que de prononcer quelques mots. Il faudrait que je me renseigne, que je fasse des recherches et que je trouve un chemin de pratique. ÒȘa demanderait beaucoup de temps et d’effort, il faudrait que j’essaie diffĂ©rentes choses et que j’évalue les rĂ©sultats. Il Ă©tait difficile de savoir si je rĂ©ussirais. Si ça ne marchait pas, tous mes efforts n’auraient-ils pas Ă©tĂ© vains ? Plus j’y pensais, plus ça me semblait ĂȘtre une corvĂ©e fastidieuse. Je me suis dit Laisse tomber. Les choses sont bien comme elles sont. Comme nous avons de bons rĂ©sultats pour le moment, il n’est pas urgent de rĂ©soudre ça. » Alors j’ai mis le problĂšme de cĂŽtĂ©. Sur le coup, je me suis sentie un peu mal Ă  l’aise. Ce n’était pas que je n’avais pas un moyen de le rĂ©soudre. Il fallait juste que je paie un prix un peu plus grand. Plus tard, le dirigeant d’équipe m’a encore dit Les frĂšres et sƓurs rencontrent des difficultĂ©s. On doit rĂ©soudre ça. » Le rappel Ă  l’ordre du dirigeant d’équipe m’a incitĂ©e Ă  rĂ©flĂ©chir. J’ai pensĂ© En tant que superviseuse, ne devrais-je pas prendre l’initiative de gĂ©rer les difficultĂ©s et de rĂ©soudre les problĂšmes des gens ? Pourtant, quand je vois des difficultĂ©s, je les Ă©vite et je n’ai aucun sens des responsabilitĂ©s. » Je me suis sentie coupable, alors j’ai priĂ© Dieu Ô Dieu, quand je rencontre des difficultĂ©s dans mon travail, je ne veux jamais travailler dur et je me soucie toujours de mes intĂ©rĂȘts charnels. Je sais que ce n’est pas en accord avec Ta volontĂ©. S’il Te plaĂźt, guide-moi pour que je rĂ©flĂ©chisse sur moi-mĂȘme et que je change mon Ă©tat incorrect. » Pendant mes dĂ©votions, je me suis demandĂ© Pourquoi ne puis-je pas m’empĂȘcher de me soucier de ma chair et ne puis-je pas payer un prix pour faire un travail concret ? » Un jour, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu qui m’ont permis de comprendre. Dieu Tout-Puissant dit Quel est donc le poison de Satan ? Comment peut-il ĂȘtre exprimĂ© ? Par exemple, si tu leur demandes “Comment les gens devraient-ils vivre ? Pour quoi les gens devraient-ils vivre ?” les gens rĂ©pondront “Chacun pour soi, Dieu pour tous.” Cette seule phrase exprime la racine du problĂšme. La philosophie de Satan est devenue la vie des gens. Quoi que les gens poursuivent, ils ne le font que pour eux-mĂȘmes et donc, ils ne vivent que pour eux-mĂȘmes. “Chacun pour soi, Dieu pour tous”, voilĂ  la vie et la philosophie de l’homme, et cela reprĂ©sente aussi la nature humaine. Ces paroles sont dĂ©jĂ  devenues la nature de l’humanitĂ© corrompue, le vĂ©ritable portrait de la nature satanique de l’humanitĂ© corrompue, et cette nature satanique est dĂ©jĂ  devenue la base de l’existence de l’humanitĂ© corrompue ; depuis plusieurs milliers d’annĂ©es, l’humanitĂ© corrompue vit de ce venin de Satan, jusqu’à aujourd’hui » Comment suivre la voie de Pierre », dans Sermons de Christ des derniers jours. La chair de l’homme est comme le serpent son essence consiste Ă  nuire Ă  la vie des gens, et, quand on lui donne tout ce qu’elle veut, ta vie est perdue. La chair appartient Ă  Satan. Elle est remplie de dĂ©sirs extravagants, elle ne pense qu’à elle-mĂȘme, elle veut profiter du confort et se dĂ©lecter de loisirs, se complaire dans la paresse et l’oisivetĂ©, et l’ayant satisfaite jusqu’à un certain point, tu finiras par ĂȘtre dĂ©vorĂ© par elle. Cela veut dire que si tu la satisfais cette fois-ci, la prochaine fois elle te demandera plus. Elle a toujours des dĂ©sirs extravagants et de nouvelles exigences. Elle profite du fait que tu lui cĂšdes tout pour t’amener Ă  la chĂ©rir davantage et Ă  vivre son confort. Si tu ne la domines pas, tu finiras par t’autodĂ©truire. Que tu puisses gagner la vie devant Dieu, ce que sera ta fin ultime dĂ©pend de la façon dont tu accomplis ta rĂ©bellion contre la chair. Dieu t’a sauvĂ©, t’a choisi et prĂ©destinĂ©, mais, si aujourd’hui tu n’es pas disposĂ© Ă  Le satisfaire, si tu n’es pas disposĂ© Ă  mettre la vĂ©ritĂ© en pratique, si tu n’es pas disposĂ© Ă  te rebeller contre ta propre chair avec un cƓur qui aime vraiment Dieu, Ă  la fin tu te ruineras toi-mĂȘme et tu endureras une douleur extrĂȘme. Si tu cĂšdes toujours Ă  la chair, Satan t’engloutira progressivement et te laissera sans vie ou sans contact avec l’Esprit, jusqu’au jour oĂč tu seras dans l’obscuritĂ© complĂšte Ă  l’intĂ©rieur. Quand tu vivras dans l’obscuritĂ©, tu auras Ă©tĂ© fait prisonnier par Satan, tu n’auras plus Dieu dans ton cƓur et, Ă  ce moment-lĂ , tu nieras l’existence de Dieu et tu Le quitteras » Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. AprĂšs avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai compris Ă  quel point mon Ă©tat Ă©tait dangereux ! Je vivais selon la philosophie satanique Chacun pour soi, Dieu pour tous. » J’étais particuliĂšrement Ă©goĂŻste et, quoi qu’il arrive, je me souciais toujours d’abord de mes intĂ©rĂȘts charnels. Quand je rencontrais un problĂšme qui avait besoin d’ĂȘtre rĂ©solu dans mon travail, je ne me demandais jamais comment servir le travail de la maison de Dieu. Je me souciais toujours de ma chair, et je voulais toujours souffrir moins et payer un prix moins Ă©levĂ©. En rĂ©alitĂ©, pour certains problĂšmes, si je payais un prix et prenais le temps de l’étudier et de le comprendre, je pouvais le rĂ©soudre, mais parce que je me souciais de ma chair et refusais de souffrir, j’avais l’impression que cette recherche exigeait trop d’effort mental. Du coup, le problĂšme n’a jamais Ă©tĂ© rĂ©solu et le travail ne s’est jamais amĂ©liorĂ©. La parole de Dieu rĂ©vĂšle que la chair des gens appartient essentiellement Ă  Satan et que la chair a toujours de nombreux dĂ©sirs et exigences. Plus on satisfait la chair, plus ses dĂ©sirs grandissent et, quand il y a un conflit entre nos intĂ©rĂȘts charnels et nos devoirs, les gens qui recherchent le confort suivront la chair et mettront de cĂŽtĂ© le travail de la maison de Dieu. ÒȘa satisfait la chair, mais ça nuit au travail de la maison de Dieu et, au bout du compte, ça offense le tempĂ©rament de Dieu, alors Dieu nous dĂ©teste et nous rejette. CĂ©der Ă  la chair et rechercher le confort a de graves consĂ©quences. Je ne voyais pas l’essence de la chair et je cherchais toujours le confort. Les plaisirs de la chair me semblaient plus importants que tout. Mes poursuites et mon point de vue n’étaient-ils pas semblables Ă  ceux d’un incroyant ? Les incroyants disent souvent Soyez gentils avec vous-mĂȘmes. » Ce qui veut dire Ne laissez pas votre chair souffrir et cĂ©dez Ă  tous les dĂ©sirs et Ă  toutes les exigences de la chair. » Ils ne vivent que pour la chair, ils ne comprennent pas du tout la valeur et la signification de la vie humaine, et ils n’ont pas la bonne direction et le bon objectif dans la vie. Ils ne ressentent aucun confort dans le cƓur, ils passent leur vie dans le nĂ©ant, vivant complĂštement en vain. Certaines personnes, dans l’Église, cherchent toujours le plaisir charnel, ne poursuivent pas la vĂ©ritĂ©, nĂ©gligent leurs devoirs, rusent et se relĂąchent, ce qui nuit gravement au travail de la maison de Dieu. Finalement, ils sont renvoyĂ©s ou disqualifiĂ©s pour des devoirs, et ils perdent complĂštement leur chance de salut. C’est terrifiant, quand on y pense ! Alors j’ai songĂ© Ă  mon cas. Je croyais en Dieu depuis des annĂ©es, mais mon point de vue n’avait pas du tout changĂ©. J’accordais plus de valeur Ă  mes intĂ©rĂȘts charnels qu’à la vĂ©ritĂ©. Je ne dĂ©sirais que le confort et j’agissais machinalement pour m’en sortir dans mon devoir. Si ça continuait, ne serais-je pas aussi rejetĂ©e et chassĂ©e par Dieu ? Quand j’en ai pris conscience, j’ai eu trĂšs peur. Je ne devais plus me soucier de ma chair. Je voulais accomplir mon devoir et assumer mes responsabilitĂ©s sĂ©rieusement. Un jour, j’ai lu des paroles de Dieu et trouvĂ© un chemin de pratique. La parole de Dieu dit Si tu es quelqu’un qui croit vraiment en Dieu, alors tu dois payer un certain prix lorsque tu accomplis ton devoir, et tu dois travailler dur. Que signifie vraiment travailler dur ? Si tu te contentes de faire un effort symbolique et de souffrir un peu physiquement, mais que tu ne prends pas du tout ton devoir au sĂ©rieux et que tu ne recherches pas les principes de la vĂ©ritĂ©, alors tu es simplement nĂ©gligent et superficiel cela ne s’appelle pas vraiment faire des efforts. Pour faire un effort, il est essentiel d’y mettre tout son cƓur, de craindre Dieu dans son cƓur, d’ĂȘtre attentif Ă  la volontĂ© de Dieu, d’ĂȘtre terrifiĂ© Ă  l’idĂ©e de dĂ©sobĂ©ir Ă  Dieu et de blesser Dieu, et de subir des Ă©preuves pour bien accomplir son devoir et satisfaire Dieu si tu as un cƓur qui aime Dieu de cette maniĂšre, tu pourras accomplir ton devoir correctement. S’il n’y a pas de crainte de Dieu dans ton cƓur, tu n’auras aucun fardeau lorsque tu accompliras ton devoir, tu n’y auras aucun intĂ©rĂȘt, tu seras inĂ©vitablement nĂ©gligent et superficiel et tu feras les choses machinalement, sans produire aucun effet rĂ©el ce n’est pas ce qui s’appelle accomplir un devoir. Si tu as vraiment le sentiment que tu es chargĂ© d’un fardeau, qu’accomplir ton devoir est ta responsabilitĂ© personnelle et que si tu ne le fais pas, tu n’es pas digne de vivre et tu es une bĂȘte, que ce n’est que si tu accomplis correctement ton devoir que tu es digne d’ĂȘtre appelĂ© un ĂȘtre humain et que tu peux faire face Ă  ta propre conscience – si tu as ce sens du fardeau lorsque tu accomplis ton devoir – alors tu seras capable de tout faire consciencieusement, et tu seras capable de rechercher la vĂ©ritĂ© et de faire les choses selon les principes, et ainsi, tu seras en mesure d’accomplir ton devoir correctement et de satisfaire Dieu, et tu seras digne de la mission que Dieu t’a confiĂ©e, de tout ce que Dieu a sacrifiĂ© pour toi et de Ses attentes de ta part. C’est seulement cela, faire vraiment des efforts » Bien accomplir son devoir suppose au moins une conscience », dans Sermons de Christ des derniers jours. Quand tu te rĂ©vĂšles Ă©goĂŻste et ignoble, et que tu en as pris conscience, tu dois chercher la vĂ©ritĂ©, tu dois chercher Ă  agir en accord avec la volontĂ© de Dieu et chercher quoi faire qui soit profitable au travail de l’Église et Ă  l’entrĂ©e dans la vie des frĂšres et sƓurs. Tu dois commencer par mettre de cĂŽtĂ© tes propres intĂ©rĂȘts, y renoncer progressivement en fonction de ta stature, petit Ă  petit. AprĂšs avoir fait l’expĂ©rience de cela plusieurs fois, tu les auras complĂštement mis de cĂŽtĂ© et, ce faisant, tu te sentiras inĂ©branlable et tu auras le sentiment qu’en tant qu’ĂȘtre humain, tu dois possĂ©der conscience et raison, tu ne dois pas ĂȘtre Ă©goĂŻste, tu dois ĂȘtre attentif Ă  la volontĂ© de Dieu, et en consĂ©quence, tu seras franc, tu seras une personne droite. Faire les choses entiĂšrement dans le but de satisfaire Dieu est honorable et apporte de la valeur Ă  la vie. En vivant sur terre de cette façon, tu es ouvert et honnĂȘte, tu es quelqu’un de sincĂšre, tu as la conscience tranquille et es digne de toutes les choses que Dieu t’accorde. Plus tu vivras comme cela, plus tu te sentiras dĂ©terminĂ© et brillant. De ce fait, ne te seras-tu pas engagĂ© sur le bon chemin ? » Offre Ă  Dieu un cƓur vrai, et tu pourras obtenir la vĂ©ritĂ© », dans Sermons de Christ des derniers jours. Pour bien accomplir mon devoir, je devais travailler dur en accord avec la parole de Dieu. Je ne pouvais pas juste payer un prix en apparence. L’important, c’est que je porte un fardeau dans mon cƓur, que je place le travail de la maison de Dieu au-dessus de tout, que je fasse de mon mieux et que j’accomplisse ce que je dois accomplir. Ainsi seulement je serai digne de l’effort mĂ©ticuleux que Dieu m’a consacrĂ© et je ressemblerai Ă  un ĂȘtre humain. J’ai compris que Dieu m’avait exaltĂ©e en me chargeant du travail vidĂ©o. Beaucoup de cibles d’évangĂ©lisation Ă©tudient le vrai chemin en regardant les vidĂ©os de la maison de Dieu. TĂ©moigner de Dieu par de bonnes vidĂ©os est une partie trĂšs importante de la diffusion de l’Évangile ! Je devais m’en remettre Ă  Dieu et faire de mon mieux dans mon devoir. MĂȘme s’il y avait divers problĂšmes et difficultĂ©s dans mon devoir, ces difficultĂ©s m’ont permis de voir clairement mon Ă©tat dĂ©pravĂ© de recherche du confort et de mĂ©pris du progrĂšs. En prenant conscience de mon point de vue erronĂ© sur la poursuite, j’ai pu me repentir et changer. J’ai une chance de gagner la vĂ©ritĂ© et de rejeter mes tempĂ©raments corrompus. Ces difficultĂ©s m’ont aussi permis de voir mes lacunes professionnelles. On doit amĂ©liorer nos compĂ©tences professionnelles pour progresser dans nos devoirs. AprĂšs avoir compris la volontĂ© de Dieu, j’ai Ă©tĂ© motivĂ©e. Ensuite, j’ai priĂ© Dieu concernant nos problĂšmes et difficultĂ©s, cherchĂ© Sa direction, et j’ai envisagĂ© des solutions avec mes frĂšres et sƓurs. Du fond du cƓur, je voulais ne plus ĂȘtre paresseuse et passive. J’ai aussi travaillĂ© pour apprendre des compĂ©tences professionnelles. Quand je me sentais coincĂ©e et que j’avais envie de baisser les bras, je priais Dieu, renonçais Ă  la chair et me consacrais Ă  mon devoir. AprĂšs quelque temps, j’ai enfin trouvĂ© une solution, le problĂšme a vite Ă©tĂ© rĂ©solu et nos rĂ©sultats se sont un peu amĂ©liorĂ©s. Je me suis sentie bien mieux en faisant mon devoir de cette maniĂšre. En rĂ©alitĂ©, rĂ©soudre des problĂšmes et faire du travail concret n’est pas si difficile et je n’ai pas beaucoup souffert. Il m’a suffi d’ĂȘtre plus consciencieuse dans mon devoir pour recevoir la direction et les bĂ©nĂ©dictions de Dieu. Mon entrĂ©e est encore trĂšs limitĂ©e, alors, Ă  l’avenir, j’essaierai de rĂ©soudre mes tempĂ©raments corrompus dans mon devoir et de le faire du fond du cƓur pour satisfaire Dieu !
SemperFidelis ! Seuls six jeunes Suisses sur dix sont encore en service, et la tendance est Ă  la baisse. Mais au fond d'une vallĂ©e du Tessin, une Une personne vous plait vraiment mais vous ne savez pas du tout si cette attirance est rĂ©ciproque et avant d’aller plus loin vous souhaitez savoir ce qu’il en est exactement. En effet, l’idĂ©e de se prendre un rĂąteau ou de se ridiculiser face Ă  quelqu’un qui ne nous laisse pas indiffĂ©rente n’emballe pas grand monde ! Alors forcĂ©ment vous doutez et vous souhaiteriez savoir ce qui se passe dans sa tĂȘte afin de mieux vous adapter. MĂȘme si cela vous semble ĂȘtre un vĂ©ritable casse-tĂȘte, il n’est pas aussi compliquĂ© de rĂ©pondre Ă  la question qui vous hante jour et nuit comment savoir si je lui plais ? Mais cela nĂ©cessite d’avoir un peu de recul sur la situation car dans ce domaine l’objectivitĂ© est essentielle ! Plus vous serez dĂ©tachĂ©e de la situation et mieux vous pourrez y rĂ©pondre. Mais pas facile lorsque l’on se sent seule depuis un moment, j’en ai conscience. Mais fort heureusement, lorsque l’on se demande lui plais-je rĂ©ellement, il existe des petites astuces afin de connaitre le fond de sa pensĂ©e. Par contre sachez qu’ici je conseillerai uniquement les femmes qui veulent savoir si un homme est attirĂ©. Rassurez-vous, il ne s’agit pas de discrimination, simplement j’ai dĂ©jĂ  rĂ©pondu aux hommes qui se demandent comment plaire Ă  une femme et savoir si c’est rĂ©ciproque dans cet article. Concernant ces petits signes qui dĂ©montrent si l’on plait Ă  un homme, vous devez Ă©galement savoir qu’ils ne sont pas identiques lorsque l’on est en couple avec la personne en question ou lorsque ce n’est pas encore le cas. En effet, dans ce genre de situation, soit vous ĂȘtes dĂ©jĂ  ensemble mais vous ne savez pas rĂ©ellement ce que votre moitiĂ© ressent ou alors vous ĂȘtes encore cĂ©libataire et vous souhaitez dĂ©crypter son attitude avant d’aller vers lui ou de lui envoyer des signaux plus Ă©vidents. Je vais donc reprendre les Ă©tapes essentielles pour comprendre un homme et dĂ©coder ses paroles ou son body language. A la fin de votre lecture vous ne vous demanderez plus comment savoir si on plait Ă  quelqu’un qui nous attire mais comment sĂ©duire un homme qui nous plait ! Comment savoir si je lui plais ? L’une des questions les plus posĂ©es ! Avant d’entrer dans le vif, je tenais Ă  apporter une petite prĂ©cision qui ne va pas vous faire plaisir ! En effet, je considĂšre que le fait de vouloir coute que coute reconnaitre les signes pour savoir si l’on plait Ă  un homme qu’un homme peut avoir des rĂ©percussions nĂ©gatives sur votre comportement. Cela peut par exemple vous pousser Ă  avoir une certaine pression sur les Ă©paules ou alors au contraire faire en sorte de vous relĂącher totalement. Alors certes il est lĂ©gitime de vouloir entrer dans les pensĂ©es de la gent masculine ou de se demander comment voir si on plait Ă  un homme, mais il ne faut surtout pas en faire une obsession pour autant. Parfois, il est mĂȘme inutile de se demander comment savoir que je lui plais car il est prĂ©fĂ©rable de se focaliser sur son bien-ĂȘtre personnel ou sur le bien-ĂȘtre de l’homme qui se trouve face Ă  vous afin de vivre sa relation amoureuse de la meilleure maniĂšre possible. Je prĂŽne en effet un certain naturel en matiĂšre de relation amoureuse et je considĂšre qu’il y aura toujours des gestes, des paroles, des attitudes qui montreront bien qu’il est attachĂ© Ă  vous. Il est lĂ©gitime de vouloir mesurer son attachement ou de se demander comment savoir s’il m’aime bien, mais sachez tout de mĂȘme que les sentiments peuvent Ă©voluer avec le temps donc paniquer parce qu’il n’est pas rĂ©ceptif Ă  vos signaux ne sera pas vraiment utile. Fixez plutĂŽt une stratĂ©gie de sĂ©duction et poussez-le Ă  s’engager Ă  travers des actions vraiment efficaces. Pour ĂȘtre guidĂ©e pas Ă  pas dans un processus de sĂ©duction, je vous propose de suivre ma formation comment sĂ©duire un homme et le faire s’engager ! Comment se mettre Ă  la place d’un homme et savoir ce qu’il pense ? Comment savoir si je lui plais vraiment ? Comment ĂȘtre sĂ»re que son attirance est sincĂšre ? Vous n’aurez plus besoin de vous demander quels sont les signes que je lui plais car grĂące Ă  quelques actions vous prendrez les commandes et je vous garantis que c’est bien plus efficace et que vous vous sentirez beaucoup mieux dans votre peau. Toutefois je vous rassure, vous ĂȘtes loin d’ĂȘtre la seule Ă  vous poser ces questions et Ă  chercher des rĂ©ponses. Chaque jour, des milliers de femmes consultent mes articles et me demandent exactement la mĂȘme chose. C’est l’une des problĂ©matiques qui vous empĂȘchent souvent d’avancer car vous ne savez pas encore sur quel pied danser avec lui. Vous savez ce type dont vous ĂȘtes folle amoureuse, qui vous fait chavirer mais qui sait aussi vous dĂ©stabiliser comme personne. Ce qui est quasi-certain c’est que de votre cĂŽtĂ© l’attirance est bien prĂ©sente et vous avez envie que ce soit rĂ©ciproque et c’est peut-ĂȘtre d’ailleurs ce qui vous rend aussi vulnĂ©rable parce que c’est lui et lui seul que vous voulez ! Savoir si on plait est effectivement un moyen de se rassurer que l’on soit un homme ou une femme d’ailleurs. Plus vous vous demandez est-ce que je lui plais et plus, en rĂ©alitĂ©, vous allez commettre des erreurs. Mais je reviendrai sur cet aspect plus loin dans l’article. MĂȘme si votre question est lĂ©gitime, en rĂ©alitĂ©, ce n’est pas de cette maniĂšre que l’on va faire avancer soit sa sĂ©duction ou alors sa vie de couple. C’est en commençant Ă  analyser les signes que je vous donner un peu plus bas que vous allez comprendre comment savoir si un homme est attirĂ©, mais surtout en agissant pour le sĂ©duire que vous saurez ! mais attention je ne minimise pas l’importance de de savoir si je luis plais ou pas. Savoir si je lui plais pourquoi est-ce si important ? Effectivement, il est essentiel de se demander comment sait-on qu’on plait Ă  un homme car cela peut permettre de gagner en confiance et de se mettre en position de femme fatale. Il y a des attitudes qui favorisent la sĂ©duction qu’il faut utiliser et autant l’avouer immĂ©diatement, plus en s’aperçoit que sa cible ressent une attirance et plus on est Ă  l’aise
 Mais attention certains hommes masquent trĂšs bien leur jeu ! Mais ce n’est pas tout, il y a 3 autres raisons qui expliquent l’importance d’avoir une attirance rĂ©ciproque. AprĂšs plus d’une dĂ©cennie de coaching, je remarque que ce besoin de savoir quels sont les sentiments d’un homme Ă  votre Ă©gard s’explique par 1/ La peur de s’engager dans une relation avec un homme qui ne va pas s’investir comme vous le souhaitez. C’est le grand problĂšme des hommes, l’engagement et la volontĂ© de construire quelque chose. Vous probablement dĂ©jĂ  avez vĂ©cu une ou plusieurs histoires qui n’avançaient pas avec des hommes car ces derniers manquaient de maturitĂ© ou n’avaient pas les mĂȘmes objectifs que vous. Par consĂ©quent vous considĂ©rez que si un homme n’a pas le dĂ©clic immĂ©diatement il n’aura pas le comportement adĂ©quat, d’oĂč l’importance d’obtenir trĂšs vite une rĂ©ponse Ă  la question comment voir que je lui plais. 2/ Savoir si on plait Ă  un homme c’est aussi avoir le besoin de se rassurer sur sa fidĂ©litĂ©. Beaucoup de femmes que j’ai pu coacher, considĂšrent, qu’un homme vraiment attirĂ© ne va pas aller voir ailleurs. Qu’on soit encore dans la phase de sĂ©duction ou bien dans le couple, c’est un moyen de le contrĂŽler » et de s’assurer qu’il restera dans le droit chemin ! Et il faut avouer que c’est un constat plutĂŽt lucide sauf lorsque l’on se demande comment savoir si je plais Ă  un homme mariĂ© car cela signifie que c’est le rĂŽle de maitresse qui vous attend ! 3/ Attirance = Amour ? En rĂ©alitĂ© se demander comment savoir si je lui plais c’est se demander, pour beaucoup, est-il vraiment amoureux ? Parfois mĂȘme alors que vous n’ĂȘtes pas encore en couple vous voulez qu’il tombe raide dingue de vous, un peu comme dans les films. Alors si c’est autant important il y a forcĂ©ment une façon d’obtenir des rĂ©ponses
 Est-ce que je lui plais ? Les 5 signes Ă  connaitre pour en ĂȘtre sĂ»re Il y a 5 signes qui peuvent permettre de rĂ©ellement savoir si un homme a des vues sur vous et si oui ou non son attirance est sincĂšre et qui peuvent aussi permettre de savoir si c’est le bon ou pas. Une petite prĂ©cision toutefois, il n’est pas nĂ©cessaire d’observer l’ensemble de ces signaux concomitamment. Si vous en observez dĂ©jĂ  2 c’est que vous avez toutes vos chances pour que ses sentiments soient prĂ©sents et forts. Pour savoir si je plais Ă  un homme je compte ses sms ! Quand un homme prend souvent de vos nouvelles, quand il commence Ă  s’investir petit Ă  petit, quand il prend l’initiative de vous envoyer les premiers messages le matin et le dernier message le soir, ce n’est pas anodin
 Quand on se demande comment savoir si on plait Ă  un homme, il ne faut pas s’attendre Ă  une grande dĂ©claration d’amour, notamment quand vous ĂȘtes toujours dans une phase de sĂ©duction car les hommes ont bien compris qu’ils ne doivent pas trop en faire sinon vous allez penser que tout est acquis et vous ne pourrez pas vous attacher. Il faut donc bien comprendre que pour les hommes, faire des efforts ce n’est pas avouer ses sentiments c’est surtout se montrer prĂ©sent et ne pas forcĂ©ment trop en faire mĂȘme si c’est peut-ĂȘtre ce que vous attendez. Mais il faut aussi Ă©viter de casser la sĂ©duction naissante car le moindre faux pas et tout peut s’effondrer. Il est donc prĂ©fĂ©rable de s’attacher aux petites attentions et observer s’il prend soin de vous poser des questions sur vous. Comment savoir si je lui plais vraiment ? Le regard qui veut tout dire
 Habituellement je suis fan des citations sur les ex. Mais il y a une citation que je trouve magnifique et qui correspond parfaitement au contexte Ă©voquĂ© dans cet article, c’est-Ă -dire lorsque l’on se demande comment savoir si l’on plait Ă  un mec. La voici il est inutile de parler quand on a un regard qui en dit long ». Je pense que l’on ne peut pas faire plus clair ! Alors Ă  vous d’analyser la situation quand un collĂšgue de bureau qui vous fixe, lorsqu’un ami ne regarde que vous lors d’une soirĂ©e, ou quand vous croisez un bel inconnu. Le langage corporel en dit parfois beaucoup plus qu’une dĂ©claration d’amour. Il est difficile pour un homme de venir vers vous et de vous dire ce qu’il pense, d’exprimer clairement son intĂ©rĂȘt. Alors, le message se transmet d’une maniĂšre diffĂ©rente mais les Ă©motions sont aussi fortes. Quand vous sentez une alchimie sans mĂȘme vous parler que ce soit par le regard mais Ă©galement le sourire, alors Ă  ce moment-lĂ  on pourra parler d’une rĂ©elle attirance qui ira dans les deux sens. Et vous pourrez ainsi prendre les choses en mains pour le sĂ©duire. Savoir s’il est attirĂ© parce qu’il veut vous voir ! Parfois, vous ne devriez mĂȘme pas vous demander est-il attirĂ© par moi ? » tellement la rĂ©ponse est Ă©vidente. Cependant, Ă  cause du passĂ© douloureux et des connards sur lesquels vous ĂȘtes tombĂ©e, ou bien par manque de confiance en vous, vous avez un Ă©norme besoin d’ĂȘtre rassurĂ©e et vous ne voyez pas les signes ou plutĂŽt vous doutez. Vous vous demandez mais est-ce que j’ai vu ? » ou mais est-ce que j’ai bien compris ? » ou encore peut-ĂȘtre que je me fais des films ? ». Cependant, vous devez avoir conscience qu’un homme qui souhaite passer du temps avec vous, que ce soit Ă  l’extĂ©rieur ou chez vous, qui vous demande si vous souhaitez sortir c’est un homme qui est attirĂ©. Attention, je ne dis pas qu’il est fou amoureux et qu’il va rĂ©aliser tous vos rĂȘves mais il peut se passer quelque chose entre vous ! En tout cas vous ĂȘtes sur la bonne voie
 Comment savoir si on plait Ă  un mec ? Ecoutez-le ! Il veut vous voir, il vous regarde et il prendre des initiatives pour communiquer avec vous. C’est parfait ! Mais il manque tout de mĂȘme un petit quelque chose
 Oui, il manque la parole directe. Parce que les sms c’est gĂ©nial mais entendre des mots agrĂ©ables sortir de sa bouche c’est encore mieux. Pour la majoritĂ© des hommes il n’est pas simple de se livrer, c’est notamment la raison pour laquelle Ă©normĂ©ment de femmes se demandent comment savoir si on plait Ă  un homme timide. Alors lorsque que ce dernier vous fait des aveux sur ce qu’il ressent c’est un signe fort. Mais ce n’est pas tout. Un homme qui vous complimente, qui vous flatte, qui remarque les petits changements comme votre nouvelle coupe de cheveux, votre nouveau maquillage ou d’autres petits dĂ©tails, ça cache forcĂ©ment quelque chose, et en gĂ©nĂ©ral ce sont des sentiments. Savoir si je l’attire quand on est dĂ©jĂ  en couple le truc Ă  savoir ! Cet article sur le thĂšme de comment savoir si je lui plais ne concerne pas uniquement les femmes qui sont cĂ©libataires ou qui ont des vues sur un homme mais Ă©galement celles qui sont dĂ©jĂ  en couple et qui ont des doutes ou des craintes. L’un des moyens pour se rassurer consiste Ă  se baser sur ce que vous faites Ă  deux, c’est-Ă -dire sur la complicitĂ© dans le couple et plus particuliĂšrement les projets communs. J’ai rĂ©cemment coachĂ© une femme qui venait d’ĂȘtre prĂ©sentĂ©e Ă  la famille de son compagnon mais qui me demandait toujours s’il Ă©tait attachĂ©. Dans cette situation, et je sais que beaucoup d’entre vous s’y trouvent, il faut savoir ouvrir les yeux et accepter que mĂȘme si tout ne vous convient pas il fait des efforts. Quand un homme vous inclue dans des projets, quand il vous montre que vous comptez pour lui alors vous avez la rĂ©ponse Ă  vos questions ! Maintenant que vous connaissez les principaux signes pour savoir si on plait Ă  un homme, vous devez Ă©galement comprendre qu’il existe des erreurs Ă  Ă©viter. En effet, le fait qu’il existe une attraction entre vous n’est pas suffisant et vous devez aller plus loin encore. Si jamais les choses ne sont pas tout Ă  fait claires pour vous, j’ai crĂ©er une formation audio d’une heure avec un guide pratique que vous retrouverez ici. Comment savoir si on plait Ă  un homme les erreurs Ă  ne pas faire ! Se demander comment savoir si un homme est attirĂ© par vous quand vous ĂȘtes vous-mĂȘme sous le charme conduit parfois Ă  faire des erreurs dramatiques. Il ne faut donc surtout pas s’arrĂȘter Ă  la question comment savoir si on lui plait et il faut pousser l’analyse un peu plus loin. La premiĂšre de ces erreurs est celle qui est peut-ĂȘtre la plus importante consiste Ă  confondre attirance et amour. Je vous le garantis et vous met en garde par la mĂȘme occasion, un homme ne tombera pas amoureux sans ĂȘtre en couple avec vous ou bien aprĂšs quelques semaines de relation seulement ! Il en faut bien plus pour qu’il ressente quelque chose de fort et qu’il souhaite aller plus loin. Au mieux, ce sera plus de la passion qu’autre chose, mais le risque c’est que celle-ci redescende car c’est aussi dangereux puisque rien n’est stable. Il ne faut donc pas baisser les bras s’il ne vous dit pas je t’aime » rapidement. Cela ne signifie donc pas que vous ne lui plaisez pas mais simplement qu’il faut laisser un peu de temps. L’une des choses Ă  ne pas faire quand on se demande comment savoir si je plais Ă  un homme c’est Ă©galement attendre qu’il agisse exactement comme vous le souhaitez. Non seulement les hommes pensent et se comportent diffĂ©remment des femmes mais vous n’avez pas la mĂȘme personnalitĂ©, vous n’ĂȘtes pas attirĂ©e par votre clone et par consĂ©quent vous devez accepter vos diffĂ©rences et donc ses comportements qui peuvent ne pas correspondre Ă  vos attentes. Les hommes mettent en gĂ©nĂ©ral plus de temps Ă  s’adapter donc inutile de paniquer pour autant. Faites le lui comprendre Ă  travers vos attitudes. Pour cela mettez un peu de distance et observez le, il reviendra vers vous au plus vite. Il est Ă©vident qu’il va dire, faire des choses qui ne sont pas identiques Ă  vos attentes cela ne veut pas dire qu’il ne tient pas Ă  vous ou bien qu’il ne souhaite pas s’engager. Inutile donc de tout remettre en question et de vous demander quotidiennement comment savoir si je plais Ă  un homme qui me plait. En laissant les choses se faire naturellement et en le laissant respirer un peu vous vous apercevrez de ce qu’il ressent Ă  votre Ă©gard. Et si cela prend trop de temps ou que ça ne correspond Ă  vos attentes, n’hĂ©sitez pas Ă  rĂ©server une sĂ©ance de coaching personnalisĂ© avec moi ou un avec un coach de mon Ă©quipe. Si vous souhaitez faire par vous-mĂȘme mais bĂ©nĂ©ficier tout de mĂȘme d’un petit coup de pouce, visitez ma boutique, vous trouverez forcĂ©ment une formation qui rĂ©pondra Ă  vos attentes. Amicalement Le coach pour savoir si je lui plais Alex Cormont
Jene me suis JAMAIS retrouvĂ© dans la scolaritĂ©, j’ai toujours trouvĂ© c’est endroit enfermĂ© contraignant, sans compter que c’est banal, mĂ©diocre et ennuyeux.
Dans cet article, nous allons vous prĂ©senter Pierre, professionnel de la coiffure et fondateur du salon Le spĂ©cialiste du balayage parisien nous a offert une belle interview. Au programme son parcours, ses conseils et ses astuces haircare ! Peux-tu te prĂ©senter en quelques mots ? Pierre Carli, 31 ans, sudiste, j’ai ouvert mon salon il y a 3 ans et demi Ă  Paris et je suis spĂ©cialisĂ© uniquement dans le balayage. Ton conseil pour un brushing parfait Ne pas trop chauffer le cheveu, partir d’un cheveu bien mouillĂ© pour qu’il mĂ©morise bien la forme, utiliser un produit Ă  mĂ©moire de forme et un autre pour protĂ©ger de la chaleur. Puis, on cumule Ă  tout ça de dormir sur une taie d’oreiller en Soie, sinon le lendemain tu te rĂ©veilles, tu as les cheveux en pagaille. Quelle est pour toi la principale erreur haircare ? La principale erreur haircare pour moi, c’est de toujours toucher techniquement Ă  ses cheveux sans vouloir derriĂšre avoir l’entretien qui va avec. Si on a les cheveux naturels et sains et qu’on aime pas s’en occuper, il n’y a aucun souci ! Cependant, quand on commence Ă  s’amuser Ă  rentrer dans de la coloration, dĂ©coloration ou autre, qu 'on a donc des cheveux qui nĂ©cessitent de l’entretien et qu’on ne s’en occupe pas, il valait mieux ne rien faire car ce ne sera jamais joli. En effet, les cheveux ne seront pas beaux et pas en bonne santĂ© ! Quel est ton produit coup de cƓur Chillsilk ? Mon produit coup de cƓur Chillsilk, c’est le classique, le basique, pour moi c’est vraiment un obligatoire La taie d’oreiller en Soie. Ça fait des annĂ©es que j’en ai entendu parler, nous l’avons au salon et c’est un succĂšs ! Toute fille qui souhaite faire attention Ă  ses cheveux doit l’avoir. Elle a Ă©galement des vertus pour la peau. La premiĂšre qui me l’a fait dĂ©couvrir c’est ma mĂšre, qui m’a dit quand je dors sur une taie d’oreiller classique, je me lĂšve le matin j’ai un pli, avec la taie d’oreiller en Soie, je n’ai pas de plis, ça fait une Ă©conomie de plis sur toute une vie ». Ton astuce pour garder de belles boucles bien dĂ©finies toute la journĂ©e ? Pour les garder toute la journĂ©e ce n’est pas le plus dur, c’est plutĂŽt pour les garder sur plusieurs jours. Pour toute la journĂ©e, il faut Ă©viter de passer la main dedans sans cesse. Souvent les filles qui ont les cheveux bouclĂ©s ont tendance Ă  y toucher pour redonner du volume, mais Ă  force ça les dĂ©tend et ça les graisse. Cependant, dormir sur une taie d’oreiller en Soie, les remouiller le lendemain, les rĂ©hydrater et faire le fameux mouvement du scrunch », c’est ce qui va redonner du gonflant et de la vie aux boucles. Quel est le produit must-have pour faire des soins capillaires ? Le produit essentiel pour faire des soins chez nous qui sommes spĂ©cialisĂ©s dans la dĂ©coloration, ça reste la base de la base Olaplex ! C’est le seul produit qui peut venir reconstruire l’intĂ©rieur du cheveu chimiquement. Ensuite, on a fait diverses routines adaptĂ©es Ă  chaque cheveu. Nous avons Ă©normĂ©ment de cas de cheveux qui graissent vite, qui ont les pointes toujours sĂšches etc. Il faut donc savoir s'adapter ! C’est pourquoi on a créé des routines. On ne possĂšde pas vraiment de marque avec laquelle on s’est dit que c’était la seule Ă  avoir, hormis ce fameux Olaplex qui est quand mĂȘme un petit peu en avant. On a donc dĂ©cidĂ© de faire une sĂ©lection de marques qui nous intĂ©ressaient et aprĂšs de multiples tests de sĂ©lectionner les produits qui nous semblent les plus adaptĂ©s. Comment limiter la casse de ses cheveux ? Les grands classiques on Ă©vite de les attacher, serrer, tirer. On Ă©vite de trop les dĂ©colorer, on Ă©vite Ă©galement de trop les chauffer. Si jamais on les a un peu trop dĂ©colorĂ©s ou autre, on fait une jachĂšre. On a Ă©normĂ©ment de clientes qui viennent, qui ont les cheveux fatiguĂ©s et qui sont surprises quand on leur dit qu’on ne les re dĂ©colorera pas ! Dans ces cas-lĂ , on y touche pas du tout. Donc c’est important de savoir se tenir, ĂȘtre raisonnable et Ă©viter tous les grands classiques de l’usure. Que penses-tu de l’effet de la soie sur les cheveux ? L’effet de la Soie sur les cheveux, c’est comme pour beaucoup de soins. Plus le cheveu en a besoin, plus cela se voit ! Sur une fille qui a les cheveux trĂšs sains, trĂšs rĂ©sistants, ça ne va pas sauter aux yeux au dĂ©but. Ça se verra vraiment sur le long terme. Cependant, sur des filles qui ont des carrĂ©s blond polaires ou autres ; parfois, elles ont un cĂŽtĂ© plus abĂźmĂ© que l’autre. Tu peux ĂȘtre sĂ»r que si tu leur demande de quel cĂŽtĂ© elles dorment et si elles ont une taie d’oreiller en Soie, elles vont te dire non. On saura ainsi qu’elle dort du cĂŽtĂ© qui sera le plus abĂźmĂ©. Dans ce cas, ça saute vraiment aux yeux. Celles sur qui on le voit Ă©normĂ©ment aussi, c’est celles qui ont des cheveux texturĂ©s, frisĂ©s ou bouclĂ©s. En une nuit, elles savent parfaitement si elles ont dormi sur de la Soie ou non. DĂ©sormais, j’ai beaucoup de clientes qui partent mĂȘme Ă  l’hĂŽtel ou qui se dĂ©placent, qu’avec leur taie d’oreiller en Soie. Parce qu’elles me disent que sinon au rĂ©veil, ce n’est pas possible ! On voit vraiment un effet notable sur beaucoup de types de cheveux. Le souvenir du look le plus fou que tu as rĂ©alisĂ© ? Il Ă©tait assez fou mais c’est surtout le plus emblĂ©matique, qui a fait pas mal parler, c’est quand j’avais fait la coloration totalement blanche sur Camille, alia noholita. C’est une influenceuse que je coiffe depuis des annĂ©es et qui est devenue une amie. C’était une trĂšs grosse transformation et c’est lĂ  oĂč on a reçu le plus de messages, oĂč ça a fait le plus de bruits. Ça avait mĂȘme Ă©tĂ© relayĂ© par la presse. C’est toujours risquĂ© de dĂ©colorer assez loin. MĂȘme pour elle, dans notre salon il n’y a pas de miroir donc elle ne s’est pas vue pas pendant 10h. Et si Ă  ce moment, elle te dit qu’elle n’est pas sĂ»re du rĂ©sultat, tu es bien embĂȘtĂ©. Donc c’est vraiment ce look qui m’avait le plus stressĂ© mais qui avait aussi le plus payĂ© ! Comment limiter la chute des cheveux post-partum ? Ce que je recommande pour la chute des cheveux post partum, c’est dĂ©jĂ  mieux vaux prĂ©venir que guĂ©rir ! C’est-Ă -dire qu’avant d’accoucher on commence Ă  prendre des complĂ©ments alimentaires qui sont bien sĂ»r compatibles avec la grossesse et l’allaitement, par exemple, les nĂŽtres le sont. C’est la premiĂšre chose Ă  faire car on ne peut pas savoir en quelle quantitĂ© ça va tomber. Il y en a chez qui ça tombe peu et d’autres chez qui c’est terrible. Si ça tombe un petit peu, ce sont souvent les parties de devant. Pas d’inquiĂ©tude, Ă  un moment ça va repousser, c’est assez chiant mais on n’y peut rien. Ça fait gĂ©nĂ©ralement une houppette, on peut essayer de la coiffer en la cachant sous une frange rideau. Cependant, dites-vous qu’il faut supporter la houppette car c’est bon signe ! Ce qui est la houppette, finira par redevenir chevelure donc courage et patience ! Carli en 3 mots ? Expertise, simplicitĂ©, dĂ©contraction ! Merci Ă  Pierre du salon Carli Paris pour cette belle interview. Nous espĂ©rons que ses conseils et astuces vous ont plu. Pour en savoir plus sur le salon Carli Paris n’hĂ©sitez pas Ă  consulter leur site web ou Ă  les suivre sur Instagram. nlOGzKh.
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  • je suis toujours devant mais on ne me voit jamais