Allez on chope le cartable et on dit bonjour au prof, c'est la rentrée! « La rentrée c'est nul; à part quand on revoit les copains ça c'est bien mais bon la rentrée c'est aussi les maths, la conjugaison, la grammaire, etc. » Emi69 , 11 ans « Moi j'adore avoir de nouveaux professeurs et travailler avec des fournitures toutes neuves et surtout j'adore pour les ami(e)s. » Shérazade
Publié le 1 septembre 2014 par isa Connaissez-vous une chanson facile pour se dire bonjour ? Télécharger Bonjour chanson proposée par Chantal Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous
Cest la rentrée maintenant. Bonjour, bonjour les enfants. Venez danser les loustics en français sur ma musique. Sur le chemin de l’école, je danse la farandole. Sur le chemin de l’école, je chante do ré mi fa sol.} × 2} × 2} × 2 La chanson de la rentrée ! C’est la rentrée ce matin. Bonjour, bonjour les copains. Les vacances
Juin est déjà bien entamé… Je n’ai pas vu l’année passer… Dans quelques jours, notre p’tit dernier –pour encore quelques mois– soufflera sa première bougie… Juin, c’est aussi le début de l’été et la fin de l’année scolaire. On dit au revoir aux copains, on en retrouvera certains dans la cour des grands à la rentrée prochaine. On rapporte petit à petit tous les dessins et les différents projets réalisés à l’école au cours de ces 10 derniers mois. On attend la fête de l’école avec une petite pointe de stress mais aussi d’impatience. La fin de l’année, c’est aussi la saison des cadeaux pour les maitresses et les Atsem. Ce qui soulève chaque année son lot de débats et de polémiques. Oui, les instits font leur boulot, c’est leur métier de s’occuper de notre marmaille pendant les heures de cour… Mais selon moi, c’est bien plus que ça ! C’est une personne de confiance à qui j’ai confié mon fils chaque matin d’école, le coeur léger. Je ne passais pas mes journées à me ronger les sangs parce que je savais qu’il y était bien. La maîtresse, ne lui a pas seulement appris à compter et à écrire, elle lui a appris à grandir et s’épanouir. Pour moi, elle contribue aussi à l’ado et à l’homme qu’il sera dans quelques années. L’année n’a pas été de tout repos pour nous, particulièrement ces toutes dernières semaines. Mais je sais que nous avons pu avec le papa, trouver un soutien sans faille de la part de l’institutrice de notre p’tit bonhomme… dans des moments pas toujours roses ! Un peu comme si elle faisait partie de la famille… Et ceux qui me connaissent savent à quel point cette notion est forte par les temps qui courent ! Alors qui va pleurer le plus le dernier jour d’école… ? Moi ou mon fils…? Sachant qu’il veut bien qu’elle reste en maternelle, mais uniquement si c’est pour être la maîtresse de son frère… Alors pour remercier cette petite fée, qui sèche les larmes et soigne les bobos quand maman n’est pas là , on voulait lui préparer quelque chose à 4 mains avec Loulou… Des boites de chocolat et des fleurs, je suis sûre qu’elle en recevra par brassées pendant les derniers jours de classe. Je voulais quelque chose qui reste, mais qui s’accorde avec sa personnalité… Quelque chose d’original mais pas tape à l’oeil… Quelque chose qu’on puisse ranger au fond d’un placard sans trop de scrupules… Quand la première année de maternelle de Loulou s’est terminée, nous avions décoré tous les deux une boite à mouchoirs avec des feuilles de décopatch et différents éléments en rapport avec l’école. J’étais heureuse pour mon fils de voir que cette boite à mouchoirs trônait toujours au milieu de la classe de sa première maitresse quand je suis allée inscrire le Ouistiti… On y avait ajouté un énorme panier en osier rempli de fruits. Ça change des fleurs et des chocolats et puis elle pouvait partager avec ses enfants, petits et grands… Cette année, j’ai opté, en plus de la -désormais- traditionnelle corbeille de fruits et de la boite à mouchoirs -presque réclamée- ;, pour un cache-pot décoré avec l’aide de Loulou. Je suis gentille, je vous dis même comment j’ai fait ! D’abord, il faut trouver un pot à bords assez droits. Ça marche très bien avec un pot de confiture type Bonne Maman, mais j’avais mon p’tit pot carré vert anis qui me faisait de l’oeil. Il vous faudra aussi des crayons de couleurs. Pas la peine de prendre des crayons ultra-chers, on va un peu les malmener… Le but n’étant pas forcement de s’en resservir par la suite, même si on pourrait finalement… Du double face, La Dremel de Monsieur, Un bon taille-crayon. Une petite plante à ajouter par la suite. 1ère étape Compter le nombre de crayons nécéssaires pour faire le tour du pot. Si le pot est assez bas, comme le notre, vous pouvez diviser ce nombre par deux, puisque chaque crayon est coupé en deux à des hauteurs différentes. 2ème étape Une fois que l’on a le bon nombre de crayons, déterminer à quelle hauteur on doit les couper. Pas forcément au milieu, je trouvais ça plus sympa et plus foufou» de faire des petits et des grands crayons sans aucune logique… Il faut ensuite les couper, soit avec une bonne paire de ciseaux, une scie empruntée à monsieur Papa ou encore un p’tit coup de Dremel c’est super rapide. On obtient alors deux bouts de crayon. Un avec une mine mais l’autre extrémité malmenée… Il suffit alors de poncer très rapidement et légèrement pour obtenir un crayon bien droit comme il l’était au début. L’autre bout de crayon, a une extrémité nickel, mais il ne lui manque qu’un petit passage par la case taille-crayon pour se refaire une beauté… Pour cette étape, on peut embaucher des p’tites mains… qui se feront une joie de vider le taille-crayon au milieu du salon… 😉 3ème étape On regroupe ensuite tous nos p’tits crayons et on les dispose un peu comme on veut, sur le double-face qu’on aura préalablement déposé sur tout le tour du pot. On appuie bien sur tout l’ensemble pour s’assurer que tout tienne bien. On peut éventuellement ajouter pour la déco mais aussi pour solidifier l’ensemble un joli ruban. Et voilà ! Une jolie petite plante ! Et c’est fini ! Allez c’était facile ! L’étape la plus compliquée… Retrouver les outils sur l’établi de Monsieur… mais ça, c’est une autre histoire… 😉 On a ensuite ajouté quelques fleurs en papier en papier que Loulou a découpé dans du carton coloré un peu épais pour ensuite les planter dans des crayons à papier pour servir de tige. Et pour d’autres idées de cadeaux de fin d’année fait-maison, voici les DIY pour réaliser un tote bag personnalisé ou encore le mug Pantone Et pour les plus pressés, vous pouvez également trouver des cadeaux tous prêts dans la boutique RangeTesJouets, comme ces mugs personnalisables par exemple… Ou bien encore des emporte-pièces personnalisés pour faire de délicieux sablés et dire Merci, tout simplement… 😉
Jeme sers de cette première reflexion pour à la fois les rassurer et leur faire peur En gros le message : apprendre à lire est un chemin long et difficile, tous les copains ne partent pas du même endroit et ne marchent pas à la même vitesse (donc on ne se compare pas aux autres mais on peut s'aider) et moi je suis là pour les aider, guider mais ce sont eux qui
Nous recevons aujourd’hui Samuel Bruet, auteur d’un blog sur l’animation dont l’objectif est de former des animateurs, de les perfectionner en techniques et méthodes d’animation et beaucoup d’autres qui a une grande expérience de l’animation avec les enfants va nous parler d’un sujet qui vous touche peut être en cette période estivale L’inquiétude des parents au départ d’une colonie de vacance ». Nous lui laissons la parole En lisant cet article, des choses vont vous rassurer et d’autres vous angoisser, mais je tiens à être franc envers vous. Des solutions seront apportées pour palier à cette inquiétude, vous pouvez même directement aller voir les conseils » à la fin de l’article mais lisez plutôt l’ensemble de l’article pour en saisir réellement le contexte. Evidemment, cela paraîtra évident pour certains parents mais en informerons d’autres1 L’ sont les parents dont j’ai pu lire une appréhension sur le visage, ressentir de la peur, verser une larme, prévenir 10 fois leurs enfants de ce à quoi ils devront faire attention pendant le séjour, poser des questions aux animateurs pour se rassurer etc…Ceci est tout à fait normal sinon vous ne seriez pas des parents consciencieux et en train de lire ces lignes. J’annonce également un grand BRAVO !! » aux parents prenant l’initiative d’inscrire leurs enfants en colonie de vacances qui pour moi est une étape incontestable dans sa vie sociale, sa confiance en lui, l’affirmation de sa personne, la connaissance de soi. Le tout en s’amusant avec les copains. C’est une école de la vie ».Cela paraît évident mais je vous laisse imaginer ce que je peux ressentir quand un parent m’amène l’enfant une heure et demie avant le départ en lui disant pas de bagarre hein ! », pas un regard en partant, pas un bisou, rien. A la fin du séjour, ces gens se permettent d’arriver une heure en retard après avoir été appelé pour me dire excusez-moi, j’avais oublié »… Oui messieurs-dames, moi aussi je serre les dents à ce moment Les situations les plus maman pleure et ne veut pas laisser partir son maman monopolise les animateurs pour le bombarder de questions afin de se ne veut pas monter dans le bus ou le Comment gérer la situation même ordre d’exemple.Je rassure la personne par ma maîtrise du milieu et du réponds à la question sur un ton faisant comprendre que je n’ai pas que ça à faire. Un peu d’accord, beaucoup cela devient commence à faire jouer les enfants entre agir de la sorte ?La vérité est simple, votre enfant n’a peut être pas peur de partir. Il va être inquiet au départ, ce qui est normal mais cela passe très vite par le contact rassurant de l’animateur qui sera son référent adulte et des autres enfants à découvrir et avec qui s’ y a deux réponses dominantes 1- Vous n’assumez pas votre démarche. C’est-à -dire que vous avez inscrit votre enfant mais que vous culpabilisez de l’avoir fait. Ce n’est donc pas lui qui a peur mais bien VOUS. Votre inquiétude sera-t-elle que votre enfant la ressentira jusqu’à lui faire perdre confiance et se sentir très mal à l’ des enfants demandent à leurs parents d’aller en colonie mais ceux-ci les prive de cette richesse à vivre parce qu’ils ont peur. Parfois masqué sous un c’est trop cher » même si cela s’avère véridique ou on ira en famille ». Et combien le font ?2- Votre enfant est surprotégé, il est tellement bien dans le cocon que vous lui avez construit qu’il est incapable de s’ouvrir à autre chose. Il se sentira en danger… Exemple j’ai eu un enfant en classe de découverte qui pleurait parce qu’il avait perdu une étiquette qui marquait son linge, parce que sa mère ne l’avait pas appelé au moins 3 fois dans la journée, parce que son jeu de cartes était à lui donc impossible de le prêter aux camarades ou même pour l’impact néfaste quand vous n’enseignez pas à votre enfant de penser par lui-même. Cet enfant au 7ème jour a arrêté de pleurer et à enfin vécu avec épanouissement son séjour. A ce moment là nous parlons autonomie pour votre alors ce que je vous conseille pour avoir une attitude positive pour le premier départ de votre enfant en colonie de méthode est sur l’organisme qui propose la colonie. Prenez connaissance du séjour sur le site. S’il n y en a pas, appelez l’organisme pour avoir le nom du gîte, le nombre d’enfants je vous conseille une cinquantaine, le numéro du directeur une semaine avant.Aller voir le gîte sur google images s’il n’est pas présent sur le site de l’organisme. En 5-10 minutes, vous savez où votre enfant va aller, ce qu’il fera et avec à la réunion parents-animateurs pour découvrir le directeur et les animateurs quand il y en a une. Voyez ce qu’ils ont dans le ventre ;. Prenez des informations sur sa motivation, vous découvrirez alors son envie et vous saurez que votre enfant est entre de bonnes avez peur qu’il ne s’intègre pas, s’il est inscrit d’un club sportif et qu’il a des copains à l’école ce ne sera pas le cas. Mieux, demandez à vos amis si leurs enfants ont déjà fait une colonie et comment ça c’est passé. A l’occasion vos enfants, sensiblement du même âge, pourront partir ensemble si vous le décidez même frères et sœurs.Le jour du vous au chef de convoi » ou directeur » pour tous renseignements, les autres animateurs gèrent les enfants et leurs valises. Ce sera la personne la plus âgée en principe mais n’hésitez pas à demander à d’autres parents ou animateurs qui vous orienteront vers ordonnance + médicaments, portable et argent de poche au directeur, chef de convoi ou à l’assistante sanitaire. Ce sera souvent l’un des gardant à vue votre enfant, laissez-le jouer avec les nouveaux camarades qu’il aura durant la colonie. Ce premier contact lui permettra d’avoir un pied dans la colo, pas géographiquement mais amicalement et sera donc beaucoup moins à votre enfant, montrez lui que votre décision de l’envoyer en colonie lui sera pas le soir même, laissez le temps à l’équipe d’animation de s’installer, de faire les inventaires, de faire découvrir les locaux aux enfants. De plus, vous permettrez à votre enfant d’être dépayser plus rapidement, ce qui est l’objectif d’une les animateurs à accompagner les enfants plutôt que de s’inquiéter à les regarder, souvent les papas donnent un bon coup de main pour les valises ;. J’ai déjà eu un convoi à plus de 70 enfants !! Faut le temps de mettre tout ça en place même lorsque l’on est choses portant réellement à vous l’ai dit, des choses vont vous y a parfois des stagiaires qui vont être un peu perdu de par leur manque d’expérience, encouragez parlez pas à un animateur qui encadre les enfants, dans une équipe d’animation chacun à sa place. Le directeur ou chef de convoi adjoint pédagogique ou animateur référent sera là pour vous répondre précisément, ce n’est pas le rôle de l’animateur qui est sur une autre look d’un animateur peut vous faire avoir des appréhensions. Au-delà du fait que certains sont vraiment mauvais je ne peux pas le nier, les meilleurs animateurs sont ceux que vous rencontrerez sur les quais de gares pour une colo. De plus, les vêtements ne reflète pas toujours une le premier détachement affectif qui se traduit par une séparation physique et il est légitime d’avoir de l’inquiétude heureusement !!. C’est comme la première fois que vous laissez votre enfant à l’école. Une fois que c’est fait, la deuxième fois est plus facile. J’ai des parents qui plaisantent à me dire, ça y est tout le monde est en vacances ;, et ils ont ne peux évidemment pas répondre mais voici ce qu’il faut retenir de cet article pour réduire vos raisons de s’ vous sur la votre enfant à la vivre, montrez lui des photos du lieu, parlez lui des copains qu’il pourra se faire, des activités etc…Ne vous posez pas 100 questions mais apportez-vous des réponses en agissant comme je vous l’ai conseillé avant et le jour du une bonne inquiétude à savoir affective et non d’appréhension. Les appréhensions sont extérieures et peuvent être que cet article vous aura apporté quelque chose. Merci à Olivier et Camille de m’avoir permis de partager mon expérience avec vous. N’hésitez pas à laisser un commentaire pour nous parler de votre propre expérience… ou à visiter mon blog
Bonnerentrée à tous les copains ! Bonjour tout le monde. Demain c’est la rentrée en France et je ne serai pas là car je suis de l’autre côté de la Terre Je suis en Indonésie, sur l’ile de Bali, et je suis allé à minuit marcher
En répondant à Vanessa, j’ai évoqué une des grandes difficultés de la rentrée comment agir avec les enfants qui pleurent ? C’est un moment déroutant et angoissant les premières années. Il faut accepter cet état de fait. Heureusement ,cela ne touche pas tous les enfants mais il est vrai que les pleurs sont très communicatifs. Il me semble important de ne pas précipiter la séparation ,le premier jour, et de laisser le temps à la fois à l’enfant mais aussi aux parents d’accepter cette rupture. Il y a différents types de pleurs Certains enfants pleurent quand leurs parents sont encore dans la classe et s’arrêtent dés qu’ils ne les voient plus. D’autres hurlent, crient, tempêtent à leur départ ; la crise dure quelques minutes puis cessent. D’autres encore pleurent à retardement en réalisant l’absence au bout de quelques temps. D’autres pleurent sans discontinuer , inconsolables, refusant toute activité. Comment agir ? L’enseignant va rapidement percevoir la meilleure façon de faire , pour ceux qui débutent ,voici quelques conseils nés des nombreuses rentrées en petite section. Dans le cas n°1 pleurs avant le départ des parents, ce type d’enfant a besoin d’être rassuré. Souvent il suffit de passer des bras de Maman à ceux de Maîtresse pour que le calme revienne, ce sont des enfants qui ont besoin du contact physique, ils veulent donner la main, tenir le pantalon, s’accrocher à la blouse de Maîtresse. Dans le cas n°2 crise avec hurlements ,ce sont souvent des enfants qui ne veulent aucun contact, ils ont besoin de crier pour exprimer leur angoisse. Il ne faut pas chercher à les prendre, il faut veiller à ce qu’ils ne se sauvent pas fermer les portes voire à clef si celles-ci donnent sur l’extérieur et les laisser piquer leur colère, celle-ci ne dure pas. Finalement ils réintègrent le groupe et se montrent souvent actifs. Dans le cas n°3 pleurs à retardement les paroles et le contact peuvent aider à soulager l’angoisse passagère. Il ne faut jamais nier la douleur de l’enfant Je sais que tu es triste parce que ta maman et ton papa sont partis, je te comprends, tu vas les retrouver tout à l’heure, ils vont venir te chercher. A l’école, tu apprends aussi à quitter ton papa et ta maman et après vous êtes contents de vous retrouver ; moi , je suis là et je reste avec toi » . Il faut souvent répéter, les enfants veulent entendre les paroles qui les soulagent. Quelquefois j’indique sur l’horloge en collant une gommette l’heure des retrouvailles, bien que petits, ils voient le déplacement des aiguilles et il pressentent le temps qui passe. C’est d’ailleurs aussi pour cela qu’il faut rapidement leur donner des repères visuels du temps pour les aider à attendre journée en photos avec petit personnage qui se déplace au fil des activités. J’accepte aussi les doudous, les tétines pour que la coupure ne soit pas brutale. Dans le cas n°4 pleurs inconsolables, je ne vous cache pas qu’il s’agit de la pire situation, de la plus difficile à gérer surtout si elle dure au-delà des fameux quinze premiers jours. Ce sont des enfants qui ont beaucoup de difficultés avec le groupe, ils ont le souhait d’être seuls avec l’adulte, c’est pourquoi lors des premiers regroupements, il vaut mieux quelquefois les confier un petit moment à l’ATSEM avec laquelle ils se promènent dans l’école plutôt que de faire subir au groupe les pleurs incessants que rien ne calme ni le contact , ni les paroles. Cependant il faut aussi savoir s’appuyer sur le groupe et quelquefois demander Qui veut donner la main à Mickaël, il est un peu perdu sans sa maman et son papa, il faut le rassurer ? » Il y a toujours des enfants prêts à soutenir le petit copain et cela peut fonctionner. Enfin il y a ceux, rares de mon point de vue, qui ne réussissent absolument pas à projeter le retour de leurs parents et qui vivent comme un abandon chaque séparation. Pour ceux-ci ,il faut beaucoup de souplesse et de patience, il peut être envisagé si cela est possible de garder la maman un peu plus longtemps et progressivement diminuer son temps de présence en classe. En tout état de cause, l’enseignant doit se sentir en confiance, il sait que ces pleurs sont inhérents à la séparation. Il veille à offrir de la douceur, de la compréhension et de la sécurité. Il se montre très présent y compris aux récréations lieu angoissant, il met en place au plus vite des repères temporels et des activités motivantes ayant un sens pour les élèves. Si le découragement le gagne, qu’il songe qu’à la fin de l’année, ce sera lui qui sera triste de voir partir ses petits élèves…….
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c est la rentrée ce matin bonjour bonjour les copains