Luniversité Texas A&M Research, qui découvrait le mois dernier la présence du variant britannique B.1.1.7 chez un chat et un chien du même foyer, invite les propriétaires atteints de Covid Une étude française montre que les animaux de compagnie, en particulier, les chats et les furets, peuvent attraper le coronavirus. Le 10 octobre 2020, le Danemark et le Pays-Bas annonçaient l'abatage de visons d'élevage, contaminés au Covid-19. De quoi inquiéter les fans d'animaux domestiques... Pour rappel, nos amies les bêtes ont fait l'objet d'études dès le début de la pandémie, le virus provenant a priori d'espèces comme la chauve-souris et le pangolin. Premier animal de compagnie testé le furet. Dans Ouest France, l'infectiologue Daniel Marc explique "il a été l’une des premières espèces à être testées expérimentalement – par inoculation nasale du virus – dans plusieurs laboratoires indépendants, car c’est le modèle animal de choix pour la grippe humaine. Et ces recherches ont démontré que le furet était un client aussi pour le coronavirus." Si tout le monde n'a pas un charmant mustélidé chez soi, les foyers français sont par contre pleins de chats 8,6 millions ou de chiens 6 millions. Et selon une nouvelle étude hexagonale, eux aussi sont à risque...De l'humain à l'animal de compagnieLe 14 octobre 2020, l’école vétérinaire VetAgro Sup publiait les résultats du projet COVIDAC, dédié à l'étude du Covid-19 et des animaux de compagnie. La méthode utilisée par les prélever des échantillons sanguins sur deux groupes d’animaux distincts. Le premier, composé de 47 animaux 13 chiens et 34 chats, considérés comme à risque élevé "car issus d’un foyer dans lequel a minima un cas de COVID-19 humain avait été diagnostiqué." Et le second groupe, à risque modéré, constitué de 38 animaux 16 chats et 22 chiens dont le statut des propriétaires était inconnu. Résultats, à la fin de l'étude, seulement un chat du groupe "à risque modéré" présentait des anticorps contre le SARS-CoV-2. Mais dans le groupe "à risque élevé", plus de 20% des animaux 8 chats et 2 chiens se sont révélés positifs. "Notre étude montre qu’un nombre d’animaux plus grand qu’anticipé peut être infecté par le SARS-CoV-2, particulièrement ceux vivant aux contact de personnes elles-mêmes infectées", nous expliquent Vincent LEGROS, maître de conférences en pathologie infectieuse à VetAgro Sup et au Centre International de Recherche en Infectiologie et le Pr Angeli KODJO, directeur du Laboratoire des Leptospires et Analyses Vétérinaires LAV. Découvrez les bienfaits des animaux sur la santé Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. Si cette enquête sérologique n’a pas permis d’identifier l’origine exacte des contaminations, c'est probablement l'humain le responsable, l'étude précisant "le fait que le risque pour un carnivore domestique d’être infecté soit 8,1 fois plus élevé s’il réside chez une personne positive au Covid-19 constitue un fort argument de l’origine humaine de leur infection". "Aucun cas de transmission d’un animal de compagnie vers l’homme n’a été décrit pour le moment, les connaissances actuelles penchent toujours largement en faveur d’une absence d’un tel risque", ajoutent Vincent LEGROS et le Pr Angeli KODJO. Faut-il protéger son animal ?Malgré ces résultats à première vue alarmants, pas de quoi paniquer. En effet, "l’infection des animaux domestiques par le SARS-CoV-2 est largement asymptomatique en conditions naturelles", explique l'étude de VetAgro Sup. "Il faut rappeler qu’il est rarissime que les animaux soient malades, c’est-à-dire qu’ils développent des symptômes en cas d’infection aucun n’a d’ailleurs été identifié dans notre étude. Par précaution, on conseille tout de même aux propriétaires de ne pas mettre en contact un personne positive à la COVID ou symptomatique avec leur animal de compagnie", précisent Vincent LEGROS et Angeli KODJO. Dans l’attente d'autres analyses sérologiques à plus grande échelle, l'Académie nationale de médecine et l’Académie vétérinaire de France enjoint tout de même à la prudence dans une note datant de juillet, elle recommande "d'éviter tout contact entre les personnes infectées par le SARS-CoV-2, ou suspectes de l’être, avec leurs animaux de compagnie, notamment s’il s’agit de furet ou de chat, et d’observer les mêmes mesures barrière que pour prévenir la contamination de leur entourage lavage des mains, masques...." Des mesures préventives et une règle d'or une fois un animal adopté, pandémie ou pas, on le garde avec soi !Coronavirus découvrez les symptômes les plus étranges Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. Vidéo par Loïcia Fouillen Journaliste aimant la polyvalence que peut offrir son métier. Spécialisée dans le domaine historique, les sujets de société et les films d'auteur, sur fond de musique électronique. Cursus universitaire basé …

Nonseulement plusieurs vétérinaires dans sa région étaient fermés en raison de la pandémie, mais certains étaient également sceptiques sur la possibilité qu’un animal attrape le Covid-19.

Impossible d’être passé à côté de l’info une épidémie d’un nouveau coronavirus le 2019-nCov sévit en Chine depuis début janvier. Le coronavirus chez le chien est-il un risque pour nos compagnons à quatre pattes ?On ne parle pas DU coronavirus, mais DES coronavirus. Il s’agit d’une famille de virus, fréquents bien avant l’épidémie actuelle en Chine, et qui peuvent toucher les humains comme les chats et nos compagnons à quatre pattes, ils génèrent généralement des conséquences respiratoires et digestives. Il n’y a malheureusement pas de vaccin contre le coronavirus du chien, mais un dépistage et un traitement restent coronavirus dont on parle actuellement dans les médias est le coronavirus 2019-nCov. Existe-t-il un coronavirus chez le chien qui représente un risque immédiat pour nos animaux ? Voici ce qu’il faut savoir sur la du chien symptomes et traitementChez le chien, le coronavirus se traduit en général par une gastro-entérite. Cela peut toutefois arriver que le coronavirus du chien donne lieu à des diarrhées plus importantes, voire hémorragiques. Ce sont les jeunes chiots qui sont les plus à risque, et dont le pronostic vital peut être coronavirus du chien se trouve le plus souvent dans les refuges ou élevages, où les chiens vivent en collectivité. Pour dépister la maladie, on effectue un test sur les selles de l' coronavirose canine n'a pas de traitement spécifique, mais on traitera les vomissements avec des anti-vomitifs, la diarrhée avec des pansements intestinaux, et la déshydratation par une coronavirus du chien ne se transmet pas à l' chien peut-il attraper le coronavirus 2019-nCov ?Une barrière d’espèce protège généralement les individus – humains comme animaux – d’attraper une maladie d’une autre espèce. Mais ceci n’est pas vrai à tous les coups, comme en témoigne l’existence des zoonoses, ces maladies transmissibles entre l’animal et l’humain, comme la rage ou la toxoplasmose chez les général, un virus est propre à son espèce, comme la parvovirose qui se transmet de chien à chien mais pas à l’humain. Toutefois, il existe aussi des virus mobiles qui peuvent muter et ainsi contourner la barrière d’espèce, pour infecter l’ coronavirus ont déjà muté de cette façon En 2003, le coronavirus du SRAS a infecté l’homme après avoir été a priori retrouvé chez une chauve-souris et une civette petit félin sauvageEn 2012, le coronavirus 2012-nCov aurait été transmis de l’animal à l’humain, puis de l’humain à l’animal, et enfin de nouveau de l’animal à l’humain dans une forme plus virulente qu’au départEn 2019, le nouveau coronavirus 2019-nCov est apparu sur le marché de Wuhan en Chine, d’une source qu’on pense animale, avant d’être transmis à l’ chien peut-il me transmettre le coronavirus ?Si, en 2003, aucun cas de coronavirus SRAS n’a été déclaré chez un chien ou un chat, cela ne veut pas dire que ce serait impossible que votre chien attrape le coronavirus 2019-nCov en 2020. Cela reste toutefois peu vous avez fait un voyage en Chine récemment, ou si vous avez été en contact avec quelqu’un qui aurait effectué ce voyage, il faudra être vigilant si vous développez de la toux et de la fièvre. Dans ce cas, il conviendra de consulter un médecin sans tarder. Cela vaut aussi pour votre chien s'il présente des symptômes, emmenez-le rapidement chez le vétérinaire pour savoir ce qu'il en attendant, portez un masque et faites-en porter aussi à ceux avec qui vous vivez, y compris votre chien, pour éviter que la maladie ne se transmette aux autres. Le risque est faible à ce jour, mais il vaut mieux être prudent !S’il s’avère que c’est bien un cas de coronavirus, on évitera de contaminer d’autres humains ou animaux en isolant le patient à l’hôpital, ou le chien à la clinique vétérinaire, le temps de la la participation de Isabelle Vixège Dr vétérinaireA lire aussi Coronavirus du chat mon animal est-il à risque ?
\n un chien peut il attraper le covid
Non du moins pas pour le moment. Selon l’OMS et les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), rien ne prouve
Bonnes nouvelles! Les chances que votre chien ou votre chat contractent le COVID sont très, très faibles. Les chiens, les chats et les humains ont leurs propres coronavirus spécifiques à l'espèce qui sont très rarement transmissibles à d'autres espèces. Bien que le COVID-19 provienne très probablement d'un animal, c'est un virus qui préfère les humains. Les chiens et les chats ne se sont PAS révélés être des hôtes très sensibles. Ouf! Il y a eu une poignée de chiens et de chats aux États-Unis qui ont été testés positifs au COVID-19 depuis mars 2020. Ces animaux étaient très probablement infectés par des personnes positives au COVID-19 à la maison. QUE DOIS-JE FAIRE SI J'OBTIENS COVID-19? Si vous ou un membre de votre famille attrapez le COVID-19, il est raisonnable d'isoler la personne infectée des autres personnes et animaux de compagnie de la maison. Cependant, si vous vivez seul, cela peut ne pas être pratique. Quand j'ai eu le COVID-19 en avril, j'étais isolé des gens mais j'avais besoin de prendre soin de mon chat. Il a continué à dormir sur mon lit et à passer du temps avec moi. Actuellement, plusieurs millions d'Américains ont été testés positifs au COVID-19 et leurs animaux de compagnie ne sont apparemment pas affectés. PUIS-JE OBTENIR LE COVID-19 DE MON CHAT OU DE MON CHIEN? Encore une bonne nouvelle! Il n'y a aucune preuve que votre animal puisse vous donner le COVID-19. Il est également peu probable, mais possible, que la fourrure de votre animal soit porteuse du virus. COVID-19 ne survit pas longtemps sur des surfaces poreuses comme les cheveux. Si une personne infectée éternue ou tousse sur votre animal et que vous touchez votre animal suivi de votre visage, vous pourriez potentiellement contracter le virus de cette manière. Si vous êtes inquiet, vous pouvez toujours donner un bain à votre animal, l'isoler pendant quelques heures ou sortir avec votre animal au soleil. QUELS SYMPTÔMES MON ANIMAL AURA-T-IL AVEC LE COVID-19? Si votre animal a une toux, un écoulement nasal, de la fièvre, des vomissements ou de la diarrhée, parlez-en à votre vétérinaire. Il est peu probable que ces symptômes proviennent du COVID-19, mais ils justifient une visite vétérinaire. Si vous ou quelqu'un dans votre maison présentez des symptômes de COVID ou si vous avez été testé positif et que votre animal présente des symptômes, informez-en votre vétérinaire. Les tests de COVID-19 pour les animaux de compagnie sont facilement disponibles. Cette pandémie est effrayante et stressante. Nos animaux de compagnie sont l'un des meilleurs antidotes que nous ayons. Ils font d'excellents amis de quarantaine et resteront heureux, peu importe ce qui est rapporté dans les nouvelles quotidiennes. Cependant ces 2 formes de coronavirus ne peuvent pas contaminer l’être humain. Le virus peut passer d’un chien à un chat ou inversement mais sans gravité et sans aucune conséquence clinique. Quoiqu’il en soit, le Coronavirus du chien ou du chat n’a rien à voir avec le Coronavirus qui touche les humains aujourd'hui. Certains animaux peuvent contracter le Covid-19, mais le fait qu’ils puissent le transmettre à l’Homme n’est pas établi. Des chercheurs se penchent sur le sujet. Pour l’heure, il n’existe pas de preuve que les animaux de compagnie jouent un rôle épidémiologique dans la propagation des infections humaines au Covid-19, indique l’Organisation mondiale de la santé animale. Photo illustration Ludovic Maillard - VDNpqr Publié 14 Avril 2021 à 12h26 Temps de lecture 3 min La question était beaucoup revenue l’an dernier, quand le Covid est arrivé en France. Aujourd’hui, plusieurs lecteurs s’interrogent de nouveau sur un possible lien entre animaux de compagnie et transmission du Covid, dans notre groupe Facebook La Voix solidaire ensemble, trouvons les réponses. En novembre dernier, une étude espagnole pointait un risque de contamination plus élevé chez les propriétaires de chien. Le fait de sortir promener son chien augmenterait ce risque de 78 %. De l’animal à l’Homme ? Mais si des chiens ou encore des chats peuvent contracter le Covid-19 et notamment son variant anglais » pour l’heure aucun élément scientifique ne permet à ce jour de mettre en évidence une transmission du chien à l’homme. Il n’est pas non plus démontré que les chiens puissent se transmettre le virus entre eux. » assure le ministère de l’Intérieur. Même si certaines espèces, comme les chats, les furets, les visons et les hamsters étaient sensibles au Covid-19, les animaux domestiques et les animaux sauvages ne jouent aucun rôle dans le maintien et la propagation du SARS-CoV-2 en France, où la diffusion du virus est le résultat d’une transmission interhumaine par voie respiratoire. Cependant, le risque de constitution d’un réservoir* animal existe, indique l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail. L’ANSES recommande donc d’être particulièrement vigilant lors des contacts entre l’Homme et les espèces capables d’héberger le virus chats, visons…, en cas de densité importante d’animaux, et de promiscuité animal-Homme, particulièrement en milieu clos ou confiné. » Quelles précautions ? L’université Texas A&M Research, qui découvrait le mois dernier la présence du variant britannique chez un chat et un chien du même foyer, invite les propriétaires atteints de Covid-19 à rester à l’écart de leurs animaux ou à porter un masque, et à se laver les mains avant et après avoir interagi avec eux. Comme elles le font pour les personnes de leur foyer. Des conseils relayés par l’Organisation mondiale de la santé animale qui ajoutent que les animaux appartenant à des propriétaires infectés doivent rester à l’intérieur, conformément aux recommandations similaires de confinement pour l’homme applicables dans le pays ou la région. L’université ajoute Sur la base des informations disponibles à ce jour, le risque que les animaux de compagnie transmettent le SRAS-CoV-2 Covid-19 aux humains est considéré comme faible. » Des questions ? Vous cherchez une réponse à une question d’actualité ou un problème pratique ? Vous doutez de la véracité d’une information ? Abonnez-vous au groupe Facebook La Voix solidaire ensemble, trouvons les réponses à vos questions *Organisme hébergeant un agent infectieux, lequel peut être transmis à un autre organisme d’une espèce différente. 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Monchat ou mon chien peut transmettre la COVID-19. Si on peut attraper et transmettre le virus, il est inutile de se faire vacciner. INTOX. Il y a deux très bonnes raisons de se faire vacciner. La première est de protéger contre une forme grave du COVID après une infection et de présenter des symptômes très légers, voire aucun symptôme. Dans un second temps, si il est vrai que
PARIS Le décollage de la nouvelle fusée de la Nasa pour la Lune, la plus puissante du monde, a été annulé lundi en raison d'un problème technique, mais pourrait toujours avoir lieu lors de la prochaine fenêtre de tir, vendredi, a estimé un responsable de l'agence spatiale américaine. Cinquante ans après le dernier vol d'Apollo, la mission Artémis 1 doit marquer le début du programme américain de retour sur la Lune, afin de permettre à l'humanité d'ensuite atteindre Mars. "Nous gardons l'option de vendredi", a déclaré lors d'une conférence de presse Mike Sarafin, en charge de la mission, sans vouloir s'avancer davantage. Il a indiqué que les analyses des équipes de la Nasa reprendraient dès mardi afin de se faire une meilleure idée du temps nécessaire pour régler les problèmes survenus, notamment concernant l'un des moteurs. Si le décollage n'a pas lieu vendredi, une autre fenêtre de tir existe lundi 5 septembre. Puis la possibilité de décollage est interrompue jusqu'au 19 septembre. C'est la première fois que la fusée orange et blanche SLS, haute de 98 mètres, doit voler. Les responsables de la Nasa avaient ainsi martelé tout le week-end qu'il s'agissait d'un vol test, et que des imprévus techniques pouvaient survenir à tout moment - malgré plusieurs répétitions générales ces derniers mois. "Je suis un peu déçu, mais ... je ne suis pas surpris", a déclaré à des journalistes sur place en Floride l'astronaute Stan Love, qui travaille sur le programme depuis deux décennies. "C'est un tout nouveau véhicule, il a des millions de pièces, toutes doivent marcher parfaitement." Température du moteur Le lancement était initialement prévu à 08H33 12H33 GMT depuis l'aire de lancement 39B du centre spatial Kennedy. Le remplissage des réservoirs de la fusée avec son carburant ultra-froid hydrogène et oxygène liquides avait commencé avec environ une heure de retard à cause d'un risque de foudre. Puis une fuite a entraîné une pause lors du remplissage de l'étage principal avec l'hydrogène. Vers 07H00 du matin heure locale, un nouveau problème, décisif, est apparu l'un des quatre moteurs RS-25, sous l'étage principal de la fusée, n'arrivait pas à atteindre la température souhaitée - condition nécessaire pour pouvoir l'allumer. Un souci de valve a également été rencontré, a indiqué Mike Sarafin. Le compte à rebours a alors été stoppé, et après plus d'une heure d'attente, la directrice de lancement à la Nasa, Charlie Blackwell-Thompson, a pris la décision finale d'annuler. Le fenêtre de tir ne s'étendait que sur deux heures, et le temps manquait pour continuer à tenter de régler le problème. "Nous ne décollons pas tant que tout n'est pas prêt", a déclaré le patron de la Nasa, Bill Nelson, juste après l'annulation. Les ingénieurs "iront au fond du problème, le régleront, et nous volerons", a-t-il assuré. Première femme sur la Lune Des milliers de personnes avaient fait le déplacement pour assister au spectacle, dont la vice-présidente des Etats-Unis Kamala Harris. La mission doit propulser la capsule Orion sans équipage jusqu'en orbite autour de la Lune, afin de vérifier que le véhicule est sûr pour de futurs astronautes - dont la première femme et la première personne de couleur qui marcheront sur la surface lunaire. L'objectif principal d'Artémis 1 est de tester le bouclier thermique de la capsule, qui reviendra dans l'atmosphère terrestre à près de km/h, et une température moitié aussi chaude que la surface du Soleil. Au lieu d'astronautes, des mannequins seront à bord, équipés de capteurs enregistrant vibrations et taux de radiations. Des microsatellites seront également déployés pour aller étudier la Lune, ou encore un astéroïde. La capsule s'aventurera jusqu'à km derrière la Lune, soit plus loin que tout autre vaisseau habitable jusqu'ici. Un échec complet de la mission serait dévastateur pour une fusée au budget faramineux 4,1 milliards par lancement, selon un audit public et en retard de plusieurs années commandée en 2010 par le Congrès américain pour une date initiale de décollage en 2017. Vers Mars Après cette première mission, Artémis 2 emportera en 2024 des astronautes jusqu'à la Lune, sans y atterrir. Un honneur réservé à l'équipage d'Artémis 3, en 2025 au plus tôt. La Nasa souhaite ensuite lancer environ une mission par an. Le but établir une présence humaine durable sur la Lune, avec la construction d'une station spatiale en orbite autour d'elle Gateway, et d'une base à la surface. Là, l'humanité doit apprendre à vivre dans l'espace lointain et développer toutes les technologies nécessaires à un aller-retour vers Mars. Un voyage de plusieurs années qui pourrait avoir lieu "à la fin de la décennie 2030", selon Bill Nelson. Mais avant cela, se rendre sur la Lune est aussi stratégique, face aux ambitions de nations concurrentes, notamment la Chine. Iln'a pas hésité avant de porter secours à une adolescente mordue par trois chiens samedi 20 août 2022 à Noyen-sur-Sarthe (Sarthe). De retour de l'hôpital, Kévin Pousse raconte. KDsIJ3s.
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